Art-thérapie : L’art qui a fait revivre Michel Leblanc

Art-thérapie : L’art qui a fait revivre Michel Leblanc
29 juin 2018
Art-thérapie : Quand l’art fait revivre !
Michel Leblanc est canadien et artiste-peintre international handicapé membre de « Visions sur l’art Québec », filiale de « Very Special Arts » qui promeut les artistes handicapés à l’international. Il est également conférencier et anime un atelier-conférence intitulé : « L’Art Rassemble », qui met en valeur les vertus de l’art et l’art-thérapie.

À travers son ouvrage « L’Art Qui Fait Revivre », il propose un récit qu’il souhaite inspirant et qui témoigne des bienfaits que lui ont apporté son art lors des rudes épreuves qu’il a eu surmonter dans la vie. Michel un jeune athlète ambitieux défie toutes adversités pour arriver à ses fins. Adolescent, il est victime d’intimidation et plonge dans la consommation de stéroïdes anabolisants. À vingt ans on lui diagnostique deux tumeurs aux seins. Passionné des arts, il se relèvera par sa thérapie miracle ; la peinture et réalisera le rêve de démarrer son entreprise. Plusieurs années plus tard, à la sortie d’un restaurant, il est victime d’un accident fatal, heurté dans un face à face par un chauffard. Frôlant la mort, les jambes écrasées, Michel sera hospitalisé pendant 6 mois. Cloué à son lit et n’ayant plus le goût de vivre, une bonne fée lui dénichera un atelier clandestin au sous-sol de l’hôpital afin qu’il se remettre à l’œuvre.

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Les neurones qui réécrivent les souvenirs traumatiques

Les neurones qui réécrivent les souvenirs traumatiques
15.06.18
Des neuroscientifiques de l’EPFL ont localisé les cellules permettant de reprogrammer des souvenirs durables d’expériences traumatiques en souvenirs de sécurité, une première dans le domaine des neurosciences. L’étude est publiée dans la revue Science.
Les souvenirs d’expériences choquantes peuvent être à l’origine de problèmes mentaux comme le trouble de stress post-traumatique (TSPT), qui peuvent détruire la vie d’une personne. On estime actuellement que près d’un tiers de la population présentera des troubles liés à la peur ou au stress à un moment ou un autre de sa vie.
Une nouvelle étude montre maintenant comment, au niveau cellulaire, une thérapie est capable de traiter des souvenirs traumatiques, même très anciens.

« Nos découvertes ont permis, pour la première fois, de mettre en lumière les processus à la base du succès du traitement des souvenirs traumatisants »,

explique Johannes Gräff, professeur à la Faculté des sciences de la vie de l’EPFL, dont le laboratoire a réalisé l’étude.
Dans le domaine du traitement des souvenirs traumatisants, une question fait depuis longtemps débat : l’atténuation de la peur passe-t-elle par la suppression de la trace de peur d’origine dans la mémoire et son remplacement par une nouvelle trace de sécurité, ou par la réécriture de la trace de peur d’origine en trace de sécurité ? Une partie du débat est liée au fait que nous ne comprenons toujours pas exactement comment les neurones stockent les souvenirs en général. Bien qu’ils n’excluent pas une suppression, les résultats de cette étude montrent pour la première fois l’importance de la réécriture dans le traitement des souvenirs traumatiques.
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