BD – Définitions : inquiétude, anxiété, attaque de panique, peur, terreur, angoisse, colère, sidération

• Définition inquiétude :

Définition d’inquiétude

Du latin inquietūdo, l’inquiétude est le manque de quiétude (calme). Le terme est utilisé pour désigner l’agitation, le souci, la nervosité ou la préoccupation.

• définition anxiété :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Anxiete

Comme la peur, l’anxiété est un état émotionnel de tension nerveuse. Nous l’éprouvons tous lorsque nous sommes dans l’attente d’un événement : opération médicale, résultat d’un examen, réponse d’un employeur etc. Elle devient pathologique lorsqu’elle réapparaît de façon chronique alors qu’aucune cause, dans le passé récent ou dans le présent de la personne, ne peut la justifier. Pour la contrôler, différentes solutions peuvent être envisagées. Elles vont de la simple technique de relaxation à la prescription d’un anxiolytique par un médecin.

• définition attaque de panique :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Attaque-de-panique

L’attaque de panique ou trouble panique survient brutalement et dure en moyenne 20 à 30 minutes. Tout devient alors sujet d’angoisses. Le malaise psychique qui s’installe s’accompagne souvent de symptômes physiques tels que des bouffées de chaleurs, des difficultés respiratoires et palpitations.
Les attaques de panique touchent surtout les femmes âgée de 20 à 30 ans. Elles peuvent être parfois associées à de l’ agoraphobie (peur des grands espaces et des lieux publics). Dès lors, l’attaque panique devient un véritable handicap, laissant la personne dans un grand isolement. Une thérapie comportementale-cognitive ( TCC) est alors préconisée. On propose parfois également un travail psychanalytique.

• définition de peur :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Peur

État émotionnel stressant
Des situations de menaces ou de danger physique ou psychologique nous mettent dans un état émotionnel spécifique, souvent accompagné de réactions physiologiques : tremblement, sueur, maux de ventre ou d’estomac, accélération du pouls. Cet état est normal et même positif lorsqu’il nous conduit à réagir en évitant ou en surmontant ce danger. En revanche lorsque la peur est la conséquence de phobies ou d’un état chronique d’ anxiété sans objet, elle prend un tour pathologique .

• définition de terreur :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Terreur-nocturne

Parasomnie surtout infantile, caractérisée par des réveils brutaux de type confuso-anxieux avec imagerie effrayante, survenant en sommeil lent profond, habituellement dans le premier tiers de la nuit, débutant par un cri de terreur et suivie d’un retour au sommeil, le plus souvent après quelques minutes.
Elle se différencie des rêves d’angoisse (cauchemars) par la notion d’un état automatique (épisode somnambulique possible) et confusionnel, l’intensité des décharges végétatives et une amnésie de la crise.
Sa prévalence est de 1 à 5% à l’âge scolaire, où elle n’a pas de signification pathologique, sinon parfois réactionnelle, avec généralement une durée de trois ou quatre ans. Plus rare chez l’adulte, diverses agressions peuvent la précipiter, notamment émotionnelles.

• définition angoisse :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Angoisse

Depuis E. Brissaud, on distinguait anxiété (état psychique caractérisé par une peur sans objet, une crainte d’un objet imprécis), et angoisse (sensations physiques de constriction et d’oppression qui accompagnent l’anxiété). Actuellement, les deux termes sont employés l’un pour l’autre.
L’angoisse peut être considérée comme un phénomène normal, lié à la condition humaine, stimulant les activités mentales. Elle peut devenir pathologique lorsqu’elle est vécue par le sujet comme une souffrance, déborde ses capacités de maitrise, retentit sur sa vie psychique et son comportement, et l’amène à demander des soins.

L’angoisse paralyse.

Définition de la colère :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Colere

Exaltation agressive de l’humeur avec perte relative du contrôle émotionnel, accompagnée de troubles neurovégétatifs.
Les colères pathologiques sont répétitives, violentes, disproportionnées, parfois gratuites, comme c’est le cas chez des personnalités explosives, limites ou histrioniques, dans certains alcoolismes chroniques (ivresses excitomotrices) et chez quelques épileptiques. Le contrôle de l’agressivité peut être réduit, notamment chez les anxieux, les arriérés, les déments et dans les manies coléreuses.
Avec sa fréquente activité clastique, la fureur est le degré extrême de la colère.

• définition sidération :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Sideration

État de stupeur émotive dans lequel le sujet, figé, inerte, donne l’impression d’une perte de connaissance ou réalise un aspect catatonique par son importante rigidité, voire pseudoparkinsonien du fait des tremblements associés.
Au réveil, peuvent se manifester des troubles divers, tels que mutisme, hypoacousie ou amaurose.
Décrite par A. Fribourg-Blanc pendant le premier conflit mondial comme une inhibition totale mettant le sujet hors d’état d’avancer ni d’ébaucher un geste de défense, elle se rencontrait dans le cadre de l’ictus émotif (E. Dupré) ou de la terreur catalepsiante des auteurs français classiques. Il s’agit en général d’une réaction à un traumatisme psychique majeur (guerre, catastrophe, deuil subit, etc.).

• définition frayeur :

https://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/frayeur/

Grande peur.
Par exagération. Faire frayeur, exciter un sentiment de malaise que l’on compare à une grande crainte.
Racine a dit : la frayeur d’un jour, pour la frayeur que cause ce jour.

• définition tétaniser :

https://www.notrefamille.com/dictionnaire/definition/tetaniser/

tétaniser(verbe transitif)
Provoquer une tétanie.
Figer d’étonnement, de peur, etc.

• L’effroi :

BMP – Mes nouveaux pinceaux


J’ai essayé mes nouveaux pinceaux 😋😊🖌
Des pinceaux comme les grands peintres. 🎨🖌 ça me fait tout chose de l’entendre sonner à mes oreilles : comme des grands peintres. Ah non non non non je ne me « la pète » pas, mais ça fait beaucoup de  bien 🙂  Ils mesurent 32 centimètres et demi de hauteur, ils sont un peu plus gros. Ils sont de couleur noire et grise. Les poils sont de couleur marron avec une petite touche de noir tout en haut au bout des poils. Ils  portent  des numéros. Le numéro 16, 14 le numéro 12, 6, 10, 12, 8, 4, 2, 0. Non je ne joue pas au loto, ce sont juste leurs numéros. Je pense que ça correspond à la grosseur, l’épaisseur du poil, du plus petit au plus gros, mais je n’en suis pas sure encore. A moi de le découvrir. Mais je n’avais pas ça en tête. Je voulais juste les essayer, comme une petite fille qui veut goûter à sa nouvelle sucrerie. Je voulais donc les mettre à l’épreuve mais aussi moi également car il y a une différence pour les tenir dans les mains. Une petite pesanteur apparaît dans la direction du haut au bout du pinceau. On sent que c’est plus lourd. Je ne sais pas si c’est plus rassurant. Mais moi je les trouve élégants dans la forme.
Et donc me voilà partie à faire naître une forme. Mon idée était de faire naître un dessin de couleurs pastelles, avec un petit côté légèrement gelé.
Je me suis installée dans mon salon, prés de la fenêtre. Pas loin dehors le sapin clignote à l’abri des chats 😻😻 qui ne pensent qu’à  jouer avec les guirlandes… et les boules 🤣. Même si pour moi ça reste difficile toutes ces fêtes je ne dois pas oublier que je ne suis pas toute seule dans ce cas et que je dois faire au mieux pour mes enfants.
L’odeur de ce sapin me rappelle l’odeur de la forêt. Ça me rappelle les bois qui se trouvent à Saint-Jean-de-Monts, avec l’odeur du chaud, la vie, les bruits de l’été… Il y a bien longtemps.

Comment avez-vous procédé pour la concrétisation de votre esquisse ?

J’ai commencé ainsi : j’ai mis plusieurs couleurs directement sur ma feuille. Un peu de jaune, de bleu, de vert, du rouge  carmin, de l’orange, du blanc et me voilà partie à tout mélanger avec mon grand pinceau. J’observai ma main qui bouge et avec ce pinceau, j’étais à la limite fière, tout en n’oubliant pas de laisser un petit relief. Je ne voulais pas faire naître une forme plate et triste. Je pense que ça a été une année difficile que je ne souhaite pas du tout la terminer ainsi.
Le relief apparaissait de plus en plus. J’ai trouvé des couleurs très flashies. Je recherchais le côté pastel que je voulais faire apparaître. J’en étais loin, j’y tenais pourtant mais j’avais ma petite idée. J’ai donc terminé par faire apparaître toutes ses couleurs vives sur toute ma feuille.
A ce stade, je trouvais que ça faisait une robe bien colorée. J’ai attendu un petit peu que ça sèche. Puis j’ai pris un autre nouveau gros pinceau sec et j’ai fait des mouvements assez brusques et rapides. Je ne devais pas m’attarder sur les couleurs si je voulais faire apparaître cet effet  de glace. Petit à petit je voyais l’épaisseur de mon aquarelle diminuer et disparaître. J’ai fait ceci sur toute ma feuille. Le changement été radical et présent. Mais je voulais ramener une petite touche afin que mon dessin apparaisse plus net plus propre dans les finitions. J’ai donc pris un rouleau moyen sec et je l’ai passé doucement sur toute ma feuille.
Une fois terminé j’ai mis mon dessin sur mon chevalet et je l’ai observé de loin. Je voulais  y trouver un sens. J’avais cette impression qu’il y avait une lumière qui apparaissait, qui partait du centre de ma feuille. Je ne sais pas le fait de vouloir trouver un sens, il n’y en avait pas tout simplement car cette lumière blanche je pouvais la tourner dans tous les sens. Ce que je veux expliquer c’est que je pouvais tourner ma feuille dans tous les sens, tout restait dans les couleurs pastelles et douces et ça je ne voulais pas le changer car il y avait un certain calme qui en émanait. Voilà mon côté magique et d’avoir des pinceaux  comme des grands peintres.😊😉🖌🎨 et dans tout cela j’ai cette impression que toutes les parties de mes dessins se suivent comme pour nous raconter un conte de Noël.

Quels matériaux avez-vous utilisés ?

Dessin conçu sur feuille blanche 36 x 48 cm. Grands pinceaux , peinture aquarelle.