Colloque – L’oubli de soi – Paris samedi 8 septembre 2018

Colloque L’oubli de soi

Colloque L’oubli de soi

9 heures à 10h30 – Introduction processus et environnements

Bernard Andrieu // Avant moi, l’émersoi
Maud Besançon // Ingrédients, plus ou moins conscients, des réalisations créatives
Edith Lecourt // Escapades dans le « hors soi » : l’improvisation en groupe
Colloque L’oubli de soi

11h à 12h45 – L’artiste, l’œuvre, le spectateur

Silke Schauder // L’art de n’être soi – les avatars et corps multiples de David Bowie

David Bowie is… L’homme qui venait d’ailleurs

Christine Leroy // L’existence du personnage dans le concept de son auteur
Marion Botella // Le processus créatif des artistes et des étudiants en art : entre dits et non-dits
Zoï Kapoula // Neurophysiologie et l’esthétique : épistémologie et nouveaux paradigmes
Colloque L’oubli de soi

14h à 15h30 – Corps et subjectivités

Jérôme Boutinaud // Image du corps, autismes et psychoses infantiles : Des corps à la dérive ?

L’éprouvé corporel aux sources du contre-transfert… en psychodrame psychanalytique individuel avec l’adolescent

Géraldine Canet // L’oubli de Soi dans l’émotion esthétique : discontinuité et subjectivation en art-thérapie

Émotions contretransferentielles dans la relation art-thérapeutique

Sandrine Pitarque // Oubli de soi dans l’improvisation théâtrale : des formes singulières de transfert ?

Dramathérapie pour enfants autistes: les appuis théoriques

Colloque L’oubli de soi

16h à 17h30 – Corps et mouvement

Florence Guérin // Improvisation en danse contemporaine : la parole du corps
Jocelyne Vaysse // « L’étoffe de soi ». Des étoffes en mouvement à la conscience du Soi
Julia-Marine Chamodon // Oubli de soi ou présence corporelle inconsciente de soi ? L’exemple d’un atelier de danse-thérapie à destination d’un public souffrant d’addiction

Edith Lecourt – Rencontres virtuelles de personnes réelles aux cyberidentités…


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Pour poursuivre nos réflexions sur ces modalités nouvelles de relations plurielles au travers des technologies offertes à partir d’Internet…

Jamais le pluriel n’a repoussé aussi loin les limites du nombre en ce qui concerne les relations ! (Bien sûr, au-delà de notre planète…il y aurait encore les galaxies…) Dans ce cadre, que devient l’offre du « petit groupe » (jusqu’à une douzaine de personnes), rencontre physique, dans un espace commun et en face à face ? Un archaïsme ? Un luxe ? Un refuge ? Comment choisira-t-on de se rencontrer via Internet ou en petit groupe ? Quelles fonctions ce groupe aura-t-il ?

Comment ce pluriel à portée de clic transforme-t-il les relations ? Quels nouveaux processus observe-t-on ?

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