Du rêve à l’art-thérapie par Sonia Robertson

Sonia Robertson

Sonia Robertson propose un remarquable travail de création et d’intégration. Son point de départ, sa source d’inspiration, c’est un objet de culture amérindienne que les autochtones appellent l’attrapeur de rêves.

https://www.lafabriqueculturelle.tv/capsules/11746/du-reve-a-l-art-therapie-sonia-robertson

6 avril 2019
Crédits
Coordination : Télé-Québec Saguenay–Lac-Saint-Jean | Jocelyn Robert
Réalisation, caméra et montage : Sylvie Gravel
Technicienne de production : Julie Pelletier
Remerciements aux participantes de Kamishkak’Arts.

Dans une rencontre récente avec l’équipe de La Fabrique culturelle au Saguenay–Lac-Saint-Jean, l’artiste, commissaire, entrepreneure et art-thérapeute de Mashteuiatsh, Sonia Robertson, nous parle de l’importance du rêve et de la création artistique.
Levier social, outil de survie, moyen de guérison : l’art a toute son importance pour les Premières Nations et ce, depuis longtemps. L’art permet de s’exprimer, de se connecter avec le monde imaginaire, pour ainsi, dit-on, se rapprocher de notre être intérieur et faire plus de place au « Grand homme » (Mishtapeu) ou à la « Grande femme » (Mishtaskueu) » qui nous habite.

Exposition : « Ce qui reste » – Sophie Calle – jusqu’au 7 juin 2020

Avant l’ère des réseaux sociaux, l’artiste française Sophie Calle mettait déjà en scène son existence par le biais de photos et de textes.
Dans l’exposition « Ce qui reste », visible au Kunstmuseum de Ravensbourg, dans le sud de l’Allemagne, elle évoque les souvenirs de sa mère, son chat et son père. A voir jusqu’au 7 juin 2020.

Sophie Calle, née à Paris le 9 octobre 1953, est une artiste plasticienne, photographe, femme de lettres et réalisatrice française.
Son travail d’artiste consiste à faire de sa vie, et notamment des moments les plus intimes, une œuvre. Pour ce faire, elle utilise tous les supports possibles : livres, photos, vidéos, films, performances, etc.
Le travail de Sophie Calle cherche à créer des passerelles entre l’art et la vie. Sous la forme d’installations, de photographies, de récits, de vidéos et de films, l’artiste construit des situations associant, selon la formule de Christine Macel, « l’association d’une image et d’une narration, autour d’un jeu ou d’un rituel autobiographique, qui tente de conjurer l’angoisse de l’absence, tout en créant une relation à l’autre contrôlée par l’artiste. »