Signification du bonheur par le couple Lavier

Logo Mediapart7 juin 2016
Par Caprouille

Couple Lavier

Malgré mes bonnes résolutions, un an après la fin du 3ème procès de Daniel Legrand, je décide de reprendre le clavier. J’aurais aimé passer mon chemin, tourner la page, mais c’est impossible. Comment faire fi de ces milliers d’enfants qui chaque année en France, sont violés ou torturés en toute impunité, dans un silence magistral ? Comment les ignorer et occulter leur indicible douleur ?

Comment oublier les victimes rencontrées au fil du temps, qui n’ont pas été protégées, à qui il n’a pas été fait droit, pire, qui ont été confiées à leurs bourreaux ?

Et puis il y a les enfants qui ont occupé une partie de mes pensées, qui ont été au centre de mes prières. De ce nombre sont Camilla* et Louca* Lavier qui s’étaient enfuis de chez eux dénonçant des actes graves de maltraitance physique. Leurs parents, Franck et Sandrine Lavier, acquittés de l’affaire d’Outreau s’en étaient tirés avec une peine ridicule (8 et 10 mois de prison avec sursis) alors que les enfants avaient subi un véritable martyre pendant des mois, des années.

Incapables de la moindre remise en question, les bourreaux avaient prétendu que la séparation (à cause de l’affaire) et le placement dans la famille d’accueil avaient empêché que se construise une relation affective filiale ce qui avait engendré une tension difficile à gérer. Les montées de colère parentale devenant inéluctables, les coups ne pouvaient que tomber. CQFD selon Lavier.

Pourtant, si j’en crois quelques archives, « du temps du bonheur parfait » (avant l’affaire d’Outreau), les coups pleuvaient plus facilement que la drache.

Pour preuve ces quelques PV ou autres extraits de Rapport de la Commission Parlementaire :

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Déclarations de Me Padovani lors de la Commission Parlementaire : « Les enfants Lavier, par exemple, qui disent : « Ma tête a heurté le meuble », « Je suis tombée par terre ». Il y avait de la violence physique, de la violence verbale, des insultes. »

Oui, ça, c’était la façon normale de vivre du foyer Lavier.

Après l’acquittement, un rapport accablant de l’IGAS n’a absolument pas servi à la protection des enfants :

Il indiquait que les 4 enfants Lavier étaient potentiellement en danger :

« Les inspecteurs de l’Igas ont acquis la conviction que ces enfants ont souffert le martyr, très jeunes, qu’ils ont été laissés chez des gens qui leur ont fait du mal, et que ce sont aujourd’hui des bombes qui courent le risque de devenir, une fois adultes, eux-mêmes des abuseurs.
Franck Lavier c’est sûr, sa femme ? Et les deux parents Brunet. »

page 98 –  livre Jacques Thomet (5)

Il y a une réelle redondance à travers mes billets. C’est volontaire. C’est parce que j’ai cette désagréable impression que ça ne fait réagir personne. Alors je rabâche. Ça ne doit pas être facile tous les jours, à 7 dans un appartement exigu. Je souhaite toutefois le meilleur pour ces enfants en leur redisant tout mon soutien.
Et puis, je pose ça là, juste à titre d’information…

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« Je soussigné Mr Lavier Franck, reconnaisant les faits requis contre moi même tout en demandant pour passé en comparussion immédiat dans la mesure du possible »
 

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C’ dans l’air – Des révélations choc sur la pédophilie qui font peu de bruit !

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Selon le journaliste Serge Garde : « DES CADRES DE SOCIÉTÉS DU CAC40, DONT ORANGE, PARTICIPERAIENT À DES SOIRÉES PÉDOPHILES »

L’extrait qui va suivre provient de L’émission C dans l’air qui a été diffusée il y a 4 jours. On ne trouve pourtant pas une ligne à ce sujet dans un média de masse. C’est quand même incroyable un tel désintérêt pour le sujet. Pour taper sur l’Église, il y a du monde mais dès qu’il s’agit de parler du gratin, ou plutôt de la fosse à purin… plus personne. Les propos de Serge Garde, quoique pas vraiment étonnants quand on s’intéresse aux réseaux pédophiles de l’élite qui arrive le plus souvent à s’en tirer à bon compte, auraient du réveiller un peu nos médias: mais non…même pas. « Serge Garde est un journaliste d’investigation, il collabore jusqu’à sa retraite au quotidien L’Humanité où il traite des faits divers. Il a travaillé également pour la télévision (FR3 et M6).


En février 2000, il publie un article dans le journal L’Humanité à partir d’un fichier établi par la police hollandaise. Cet article lance en France la polémique autour de l’Affaire du CD de Zandvoort, à la suite de quoi il coécrit un livre intitulé « Livre de la honte » avec Laurence Beneux, journaliste au Figaro qui dénonce le laxisme qui sévirait autour des réseaux pédophiles. Finalement la justice française prononce un non-lieu sur cette affaire en 2003.

Il a consacré divers autres ouvrages à la pédocriminalité et à la lutte à son encontre. Il a apporté son concours à la rédaction du livre de Chérif Delay, « Je suis debout. L’aîné des enfants d’Outreau sort du silence, à propos de l’affaire d’Outreau. »

« En 2013, il est l’auteur d’un documentaire controversé sur l’affaire d’Outreau intitulé Outreau, l’autre vérité.»
Puisque cette vidéo a déjà été censurée plusieurs fois par France Télévision pour cause de droits d’auteur, elle est également sur Daily Motion au cas ou. Il s’agit d’une version plus longue. (A 39′)

Serge Garde sur la pédocriminalité…

Cette pédophilie institutionnelle abjecte, manifestement protégée par les hautes instances judiciaires dans plusieurs pays (dont le notre) est loin d’être nouvelle.
« « Viols d’enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusés au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d’enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l’attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d’écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes.

Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu’ils sont doués d’un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu’ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu’ils racontent avoir vécu. En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l’intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu’ils expliquent avec leurs mots d’enfant ce qu’ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permet pas de douter de la véracité des faits. »


Ajoutée le 9 avril 2013

« Viols d’enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusé au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres.

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