C’ dans l’air – Des révélations choc sur la pédophilie qui font peu de bruit !

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Selon le journaliste Serge Garde : « DES CADRES DE SOCIÉTÉS DU CAC40, DONT ORANGE, PARTICIPERAIENT À DES SOIRÉES PÉDOPHILES »

L’extrait qui va suivre provient de L’émission C dans l’air qui a été diffusée il y a 4 jours. On ne trouve pourtant pas une ligne à ce sujet dans un média de masse. C’est quand même incroyable un tel désintérêt pour le sujet. Pour taper sur l’Église, il y a du monde mais dès qu’il s’agit de parler du gratin, ou plutôt de la fosse à purin… plus personne. Les propos de Serge Garde, quoique pas vraiment étonnants quand on s’intéresse aux réseaux pédophiles de l’élite qui arrive le plus souvent à s’en tirer à bon compte, auraient du réveiller un peu nos médias: mais non…même pas. « Serge Garde est un journaliste d’investigation, il collabore jusqu’à sa retraite au quotidien L’Humanité où il traite des faits divers. Il a travaillé également pour la télévision (FR3 et M6).


En février 2000, il publie un article dans le journal L’Humanité à partir d’un fichier établi par la police hollandaise. Cet article lance en France la polémique autour de l’Affaire du CD de Zandvoort, à la suite de quoi il coécrit un livre intitulé « Livre de la honte » avec Laurence Beneux, journaliste au Figaro qui dénonce le laxisme qui sévirait autour des réseaux pédophiles. Finalement la justice française prononce un non-lieu sur cette affaire en 2003.

Il a consacré divers autres ouvrages à la pédocriminalité et à la lutte à son encontre. Il a apporté son concours à la rédaction du livre de Chérif Delay, « Je suis debout. L’aîné des enfants d’Outreau sort du silence, à propos de l’affaire d’Outreau. »

« En 2013, il est l’auteur d’un documentaire controversé sur l’affaire d’Outreau intitulé Outreau, l’autre vérité.»
Puisque cette vidéo a déjà été censurée plusieurs fois par France Télévision pour cause de droits d’auteur, elle est également sur Daily Motion au cas ou. Il s’agit d’une version plus longue. (A 39′)

Serge Garde sur la pédocriminalité…

Cette pédophilie institutionnelle abjecte, manifestement protégée par les hautes instances judiciaires dans plusieurs pays (dont le notre) est loin d’être nouvelle.
« « Viols d’enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusés au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d’enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l’attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d’écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes.

Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu’ils sont doués d’un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu’ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu’ils racontent avoir vécu. En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l’intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu’ils expliquent avec leurs mots d’enfant ce qu’ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permet pas de douter de la véracité des faits. »


Ajoutée le 9 avril 2013

« Viols d’enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusé au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres.

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L’ONU tance la France – Les actes pédocriminels seraient sous-estimés et négligés

Logo-L'obs-sociétéPublié le 12-03-2003 à 09h03
Un rapport préliminaire du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme accable la justice française et le Conseil de l’ordre des médecins. Les actes pédocriminels seraient sous-estimés et négligés.

Un rapport préliminaire d’une enquête du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme dénonce l’irrespect des droits de l’enfant en France. Juan Miguel Petit, responsable onusien des enquêtes sur les trafics d’enfants, la prostitution infantine et la pédopornographie doit rendre en 2004 un rapport, dont les premiers éléments sont publiés par L’Humanité lundi.

Des agressions sexuelles en milieu familial. « Selon les informations recueillies par le rapporteur spécial, la pédopornographie est souvent liée à des agressions sexuelles infligées aux enfants dans leur milieu familial. Actes qui, parfois, donneraient lieu à la création de matériels » destinés à la vente.

Au sujet de l’affaire du cédérom de Zandvoort (cédérom contenant plus de 10.000 images ou séquences pornographiques, appartenant à un pédophile néerlandais domicilié à Zandvoort, Gerrit Ulrich, assassiné en juin 1998 par son ex-ami belge). « Sur le cédérom, un certain nombre de parents français auraient vu le visage de leur enfant » alors que selon la police « les images remontaient aux années 1970 ». « Certains parents contestent ce fait, prétendant que certaines photos recèlent la preuve qu’elles ont été prises récemment. Le cédérom n’a pas été présenté à Interpol. »
Interrogée par le Journal Perm@nent, la défenseure des enfants Claire Brisset a cependant affirmé que le cédérom en question avait été donné à Interpol. Une information émanant selon elle de « sources policières » (lire l’interview ci-contre).

Des dysfonctionnements judiciaires. « Il apparaît que maintes personnes en position de responsabilités pour faire respecter les droits de l’enfant, en particulier au sein de l’appareil judiciaire, refusent encore largement de se rendre à l’évidence de l’existence et de l’étendue » de la pédocriminalité, est-il écrit.
« Un manque de moyens adéquats ou de formation, voire de spécialisation, parmi les hommes de loi qui traitent d’agressions sexuelles infligées à des mineurs » aboutit « à ce que , parfois, les droits de l’enfant ne soient pas respectés. Dans les procédures civiles concernant la garde de l’enfant, le mineur n’a pas le droit d’être automatiquement entendu. Son audition est laissé à la discrétion du président de l’audience. Dans la plupart des cas l’enfant n’est pas entendu. »
Alors qu’elles devraient être protégées, « les personnes qui suspectent et signalent des maltraitances s’exposent à des poursuites ou à des sanctions administratives pour diffamation. Les professions médicales sont particulièrement exposées. Des médecins qui signalent des abus […] paraissent ne pas recevoir l’assistance du Conseil de l’ordre des médecins. »
Le principe selon lequel « le pénal tient le civil en l’état » n’est pas respecté : « Un enfant peut être contraint de rester avec la personne mise en examen pour l’avoir maltraité ». « Dans un nombre croissant de cas, un parent séparé, habituellement la mère, choisit d’emmener sa progéniture hors de France plutôt que de se plier à une décision de justice donnant le droit de visite ou de garde à l’auteur présumé de maltraitance ».

Recommandations
Juan Miguel Petit préconise « le respect de l’article 12 de la convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant […] en particulier dans toute procédure administrative ou judiciaire le concernant ». Il demande « des enquêtes impartiales et complètes » contenant « les rapports des médecins, des psychologues et des travailleurs sociaux. » Il exige du gouvernement français qu’il remette « officiellement le cédérom de Zandvoort à Interpol. » Il est demandé au Conseil de l’ordre des médecins « de façon urgente, de revoir ses procédures afin de soutenir les praticiens qui effectuent des signalement au lieu de les condamner ».

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