L’affaire Zandvoort : l’activiste Marcel Vervloesem torturé à mort

Bruxelles, 13 avril 2012

Par Jan Boeykens, président du Werkgroep Morkhoven
Pour ce qui est de Marcel. Après qu’on avait enfermé Marcel dans une autre cellule dans le but de vraiment le tuer (Marcel a de nouveau de l’eau dans les jambes), un membre de la direction de la prison de Turnhout l’a invité aujourd’hui et lui a promis (avec beaucoup de menaces) de le mettre dans sa ‘propre’ cellule avec quelqu’un avec qui il pourra (sur)vivre.
Il est déjà depuis presque 3 mois en prison après une accusation qui était, comme habitude, publiée dans ‘Het Nieuwsblad’. Les juges qui ont décidé de l’enfermer sont les mêmes juges qui l’ont poursuivi pendant 11 ans pour étouffer l’affaire Zandvoort. Tandis qu’ils nient les résultats de l’enquête et ignorent le jugement de la Cour pour l’Application des peines d’Anvers qui était d’accord pour le remettre en liberté provisoire, ils gardent Marcel en prison avec l’excuse qu’on attend le rapport psychiatrique sur son accusateur. C’est clair, ils vont toujours trouver une autre excuse pour garder Marcel en prison.
Marcel est en ‘préventive’ mais en fait il est traité comme quelqu’un qui est déjà condamné.
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Prévention de la diffusion de l’information sur le réseau pédocriminel Zandvoort

31 décembre 2010
Marcel Vervloesem, le fondateur de l’asbl Werkgroep Morkhoven qui a exposé le fichier pédopornographique Zandvoort, vient d’être condamné à une écoute permanente ses communications téléphoniques, une surveillance de son ordinateur, de ses communications par Internet, ainsi que son courrier postal.

Marcel Vervloesem a été remis en liberté le 4 août 2010, suite à une condamnation pour des faits qu’il a été reconnu physiquement incapables d’exécuter. La liberté a été accordée à Marcel Vervloesem sous les conditions suivantes :

  1. Le renouvellement d’une interdiction de contacter la presse qui lui a été imposée en 2006 pour une période de trois ans.
  2. L’interdiction de toute activité de soutien à des associations ou organisations qui luttent contre l’abus d’enfants.
  3. L’interdiction de contacter les membres de l’asbl Werkgroep Morkhoven qui sont ses amis depuis vingt ans, et qui lui ont rendu visite chaque semaine durant les deux ans qu’il était détenu en prison.
  4. L’interdiction de contacter l’acteur Flamand Jo Reymen, qui soutient Marcel mais ne fait pas partie du Werkgroep Morkhoven.

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