Emprise psychologique


Emprise psychologique est un processus pervers de domination qui réduit l’autre à n’être qu’un objet.
Processus de répétition littérale.

Livre : Comment ne plus être victime
Gérard Lopez
Date de parution  01/10/2009
Editeur  Esprit du temps (L’)
ISBN  978-2-84795-172-1
EAN  9782847951721
Présentation  Broché
Nb. de pages  154 pages
Poids  0.202 Kg
Dimensions  21,1 cm × 13,8 cm × 1,4 cm

Résumé

A la maison, au bureau, en famille, les persécuteurs sont parmi nous. Nous en sommes les victimes. Mais comment les reconnaître, comment comprendre leur psychologie, comment s’en protéger, comment les combattre ? Gérard Lopez dénonce les stratégies d’emprise et de domination qu’exercent les persécuteurs au quotidien : ce sont des proches, le conjoint, des collègues, des supérieurs… qui utilisent l’humiliation, la maltraitance, le terrorisme, les attitudes totalitaires, les accusations, la torture morale, le secret pour parvenir à leurs fins. Le renversement des accusations constitue une tactique perverse bien rodée qui leur est propre : la signature du vampire.


Emprise psychologique
Tous les hommes violents, toutes les femmes manipulatrices ne sont pas des pervers, mais ils sont tous narcissiques.
Le vampire déteste la lumière c’est-à-dire la vérité.
Il jubile dans l’action. Il vide ses victimes pour survivre.
Les gens qui se trouvent dans un processus perpétuel de revictimation.
Le processus d’inversion
Les victimes sont différentes. Au début elles ne comprennent pas.
Les attaques narcissiques des pervers sont surtout des violences psychologiques extrêmement difficile à prouver.

Pour lutter, il faut d’abord vaincre le déni

Notre société est assez fascinée par les pervers.
Éliminer c’est amener du sens et du symbolique.

L’inversion est la signature du pervers

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L’hommage à Polanski, malgré tout

L’hommage à Polanski, malgré tout
28/10/2017
Cinéma. En pleine affaire Weinstein, difficile de rendre hommage à Roman Polanski. Pourtant, la Cinémathèque tient bon, avec une rétropectivede ses œuvres à partir de demain, lundi.

« Nous ne décernons ni récompenses ni certificats de bonne conduite. Notre ambition est autre : montrer la totalité des œuvres des cinéastes et les replacer ainsi dans le flux d’une histoire permanente du cinéma », souligne la Cinémathèque alors que la rétrospective doit se dérouler à partir de demain, 30 octobre et jusqu’au 3 décembre.

« De ce point de vue, l’œuvre de Polanski, entre films de genre et confessions douloureuses, raconte rien moins que le XXe siècle, ses innombrables tragédies et leur nécessaire et souvent sublime mise en spectacle. Elle nous paraît donc plus que jamais indispensable », insiste l’établissement culturel.

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J’avais J’avais 14 ans quand mes parents m’ont emmenée voir Chinatown.
J’ai pu réaliser, grâce à ce film, ce que je vivais à la maison et combien mes parents étaient pervers.
Polanski savait de quoi il parlait. Il a vécu un enfance horrible. Nous étions en 1974 en pleine libération sexuelle et tout était permis, voir même encouragé.


CINEMATHEQUE – DU 30 OCTOBRE AU 25 NOVEMBRE 2017
MERCREDI 1 NOVEMBRE 2017, 20H00
SALLE HENRI LANGLOIS
20h00 → 22h05 (122 min)
Ouverture de la rétrospective en présence de Roman Polanski
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Bref, chez Polanski, l’œil voit, mais c’est le corps qui ne répond plus. Ou alors : quand le corps est immobilisé, l’œil se met à voir des choses échappant aux autres sens. C’est ce qui arrive dans le dernier acte du Pianiste, dont le personnage-titre, forcé de se terrer dans des appartements, assiste impuissant à l’insurrection de Varsovie. Puis il découvre une ville en ruines qui est presque aussi fantasmagorique que les mains masculines sortant des murs dans Répulsion, mais qui n’en ressemble pas moins aux images télévisuelles de Grozny ou Alep. Cependant, de la même façon qu’il retourne comme un gant les clichés antisémites sur l’argent, le film inverse l’habituel traitement polanskien du psychisme : c’est quand il est cloîtré que le héros retrouve son identité, d’être humain, de Juif, de pianiste du nom de Szpilman, avec la complicité d’un énigmatique officier de la Wehrmacht.
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Gilles Esposito


Film – Chinatown de Polanski – 1974 – Dialogues révélant l’emprise et les viols par inceste du père sur sa fille