Chapitre 6 – page 103
Développer la réflexion
Mon ressenti en lisant ce chapitre du livre :
Il m’a donné des sueurs 🙂 Je dis cela quand ça commence à se corser pour comprendre ! Mais je ne vais pas lâcher ! Hi hi hi 🙂
Compliquez à comprendre du premier coup je dirais, mais après plusieurs lectures, de ce chapitre non seulement celui-ci m’a parlé du point de vue des situations mais m’a appris aussi 🙂
J’aime beaucoup cette phrase à la page 104
(2. La réflexion : une compréhension etc..)
La capacité de réflexion est lié à la capacité de comprendre nos propres pensées et sentiments ainsi que celles des autres.
Comme aussi ce morceau à la page 105 qui est :
Réfléchir nous fait réaliser que d’autres personnes ont leurs propres pensées, sentiments, besoins, et buts, qui peuvent (parfois) impliquer des pensées, sentiments, motivations et interventions bien différents des nôtres.
Bien entendu, cela ne signifie pas pouvoir « lire » les pensées des autres en présumant savoir ce qu’elles contiennent.
Cet exemple aussi qu’il donne :
la personne qui rentre à l’improviste dans une pièce..page 105 (3.)
Cette attitude positive qu’il faut toujours rechercher, oui c’est vrai, on peut avoir peur mais rechercher le pourquoi et le tourner en plus apaisant voilà le but enfin pour moi, comme pour les réactions des autres en comprendre le pourquoi, exemple quand il ne répond pas etc. ce n’est pas forcément toujours négatif.
Pourtant, pour moi, dans ces moments là c’est toujours le côté : on ne veut plus de moi, on m’ignore etc. qui ressort. Là c’est une de mes personnalités qui prend la relève, Béatrice n’est plus là, c’est la petite, qui se sent rejetée, abandonnée etc. et que je dois rassurer.
Beaucoup de mots aussi m’ont accrochée, ont capté mon attention, comme :
• Panique,
• Impulsivité
• Peur
• Fonctionnement réfléchi
• Craintive
• Prenez conscience
• Réfléchir
• Hors de proportion
• Pas adaptée.
Page 106 (4.) Problème de la réflexion etc.
Là aussi je me suis reconnue, l’éducation qu’on m’a donnée a fait boum de suite dans ma tête pendant la lecture de ce morceau, mal à l’aise, une grosse angoisse et apparue. Mes larmes ont coulé et ma réaction a été : quel temps perdu, un gros moment de vide, j’étais vraiment présente là j’ai bien ressenti cette douleur.
Après je suis passé à rien n’est perdu 🙂 tout est rattrapable et j’ai continué ma lecture, mais j’ai quand même eu du mal à me concentrer, mes mères étaient là dans ma tête.
J’ai donc fait une pause et réfléchi pour un dessin.
Plus tard j’ai relu le paragraphe entièrement.
Feuille de travail domicile 6.1 page 115
Développer la réflexion
Réfléchissez propos d’une expérience que vous avez eu cette semaine, pour laquelle les aptitudes que nous avons décrites dans ce chapitre auraient pu vous aider. Ne prenez pas une situation trop difficile.
Je dois toujours répéter avec mon « ami »
Décrivez brièvement la situation telle que vous l’avez vécue au moment même.
Je replissais un dossier, mon « ami » était à côté de moi aussi, je lui expliquais afin qu’il soit au courant. Il ne voulait pas le remplir, mais je souhaitais qu’il participe. Je lui demandais donc de sortir les papiers qu’on nous demandait de joindre en photocopie, et de relire mes écrits, au cas où j’aurais oublié quelque chose, mais il le faisait en survolant, pas vraiment attentionné. Pour les photocopies, il ne faisait pas attention, il ne comprenait pas, ne trouvait pas etc. Je devais me déplacer pour les trouver avec lui, et pour relire.
Au bout d’un moment il me dit : oh ça m’agace fais-le !
Quelles étaient vos pensées, vos sensations corporelles, vos prédictions ?
J’étais agacée, énervée, j’avais cette impression de ne pas parler français, que mes paroles n’étaient pas claires.
En sensations corporelles, les mains m’ouates, et je transpirais, comme pressée de l’intérieur.
Tantôt j’étais angoissée je culpabilisais aussi de le mettre dans une mauvaise position, « de contrainte » et puis parfois, je me demandais s’il ne le faisait pas exprès. Et je l’aurais claqué.
Qu’avez-vous fait ?
J’essayais de m’exprimer d’une autre façon, je veux dire plus clairement, de me montrer encore plus patiente.
Ou de relire à voix haute, afin qu’il puisse me suivre, comme il ne voulait pas le lire ce dossier vraiment je le voyais à son attitude aussi.
Je voulais savoir et comprendre le pourquoi, concernant ça réaction aussi.
Y avait-il d’autres parties de votre personnalité présentes et /ou concernées dans cette situation ?
Comment en étiez-vous conscient ? Pouvez-vous décrire leurs réactions ? (Par exemple : j’entendais des voix qui faisaient des commentaires dans ma tête.)
Une partie de moi disait il m’agace, il en a rien à foutre, laisse tomber !
Si d’autres parties de votre personnalité étaient présentes dans la situation, comment ont-elles influencé votre comportement et vos décisions ?
J’avais ces pensées :
De laisser tomber et de faire moi-même.
De me replier sur moi-même.
Pas chercher d’histoire, de dispute.
Est-ce que votre réaction, ou celle de vos parties, à cette situation était une manière habituelle de réagir ?
Peut-être oui, je ne sais pas, je comprends pas bien là.
Pouvez-vous décrire ce sentiment, ces pensées, ces sensations corporelles ou ce comportement ?
Béatrice, elle est patiente, répète, montre, cherche comment elle peut s’y prendre autrement.
Béa je pense l’aurait envoyé paitre.
Si vous repensez cette situation : comment auriez-vous (ou comment les parties de vous auraient-elles) pu régir autrement ? Quelle information aurait pu être nécessaire pour cela ?
Je dirais Béatrice aurais peut être pas insisté pour sa participation..
Si Béa était intervenue , je dirais plus patiente, moins brutus en mots et gestes..
Mon dessin, un cerveau qui pourrait représenter aussi bien le miens que celui des autres.. au point du vu « forme » mais pas pour le fonctionnement..mais je l’ai représenter en cette forme, pour la compréhension de soi et des autres voilà aussi pourquoi ce dessin .
Le petit bonhomme qui réfléchi à côté, fait ressortir cette partie du livre page 110 (5.3 Exemple réfléchir pour comprendre les autres) cette situation pas toujours facile car me concernant j’aurais tendance à vite m’angoisser et à partir en vrille..exemple quand il n’y a pas de réponses et que les idées négatives arrivent tout de suite. La petite qui ressort en personnalité, mais voilà je dois réfléchir et me dire que peut-être il y a eu un empêchement etc. et c’est le pourquoi du silence ou autre.
Et le visage, se poser les bonnes questions ? un visage, cela aurait été pas normal pour moi de ne pas mettre un visage derrière et concernant toutes ses situations, ses modes de fonctionnement (empathie, réfléchir, compréhension etc.) car derrière tout cela, se trouve une personne non ?