BMP — Groupe de parole — La joie

Définition du mot joie :
Joie
nom féminin
(latin populaire gaudia, pluriel de gaudium)
Sentiment de plaisir, de bonheur intense, caractérisé par sa plénitude et sa durée limitée, et éprouvé par quelqu’un dont une aspiration, un désir est satisfait ou en voie de l’être : Ressentir une grande joie. Être fou de joie.
Ce qui provoque chez quelqu’un un sentiment de vif bonheur ou de vif plaisir : c’était une joie de les regarder.
S’emploie comme intensif de « plaisir » dans des formules de politesse : J’accepte avec joie.
État de satisfaction qui se manifeste par de la gaieté, de la bonne humeur : Travailler dans la joie.
Expression :
Familier. C’est pas la joie, c’est difficile, désagréable, insuffisant, etc.
Être tout à la joie de, être pris, absorbé totalement par quelque chose dont on retire une vive satisfaction.
Faire la joie de quelqu’un, être une cause de satisfaction, de plaisir pour lui.
Fausse joie, joie attendue, mais qui se révèle non fondée.
Joie de vivre, plaisir à accomplir chacune des tâches de la vie.
Les joies de quelque chose, les plaisirs qu’on en tire, les bons moments que cela procure ou, familièrement et ironiquement, les ennuis, les désagréments de quelque chose : Cela fait partie des joies de l’existence. Les joies du service militaire.
Mettre quelqu’un en joie, le mettre en gaieté, le disposer au rire, à la bonne humeur.
Se faire une joie de, être extrêmement heureux à l’idée de.
Synonymes :
Allégresse
Béatitude
Félicité
Jubilation

Contraires :
Dépit
Désespoir
Désolation
Douleur
Mélancolie
Tristesse


Je mets le mot joie avec les mots suivants : bonheur, contentement, satisfaction, euphorie, contagion, bien-être, sourire, apporter.
Je pense que ce mot joie dépend de notre compréhension, réactions, d’interprétation, de notre attitude et comment on perçoit les situations, les choses dont nous vivons, qui nous entourent, et comment  on  les  regardent,  on  les comprends,  je veut dire si on ne voit  du négatif partout la joie ne sera pas présente..et on ne pourra pas la transmettre aux autres personnes.
Si je devais donner une couleur à ce mot je dirais toutes, sauf les couleurs sombres, simplement les vivent celles qui sont tapantes.. ( violet, rose, bleu, jaune etc..)
La joie me concernant elle me touche que la tête,  je sais pas si on la ressent dans le corps je ne ressens rien, je ne sais pas ce qu’on ressens dans ses moment là. J’en reviens à la masturbation , un sujet aborder aussi au groupe pendant ce thème, ça ma déstabilisée.. Geneviève qui en à parlé. Donc  dans ma tête je ressens cette joie, c’est à cet endroit, une satisfaction comme par exemple, le travail  que je réalise, qui est de peindre, créer, c’est un réel plaisir,  me voir réussir quelque chose ou moi je doute. Cette joie de cette exposition de Clichy est  dans ma tête énorme.  la joie de voir mon cerveau capable de ressentir aussi ce positif.
Se rendre utile aide la joie à s’installer, se sentir vivante..
j’ai en moi toujours dans ma tête cette joie de voir les personnes que j’aime ou que j’apprécie de voir, de savoir qu’elles vont bien disons au mieux, une situation qui me touche beaucoup, ce n’est pas de l’indiscrétion , mais mon coté de ne pas être indifférente aux personnes qui m’entoure qui ressort de moi mais  celle ci pas toujours bien comprise ..
la  joie de voir mes enfants, de les voir réussir, heureux, s’épanouir, rire, de les voir heureux me met de la joie dans ma tête, quand je les entends dire : chouette j’ai réussit yes !  Même quand  t’ils ne sont pas sûr d’eux qu’un doute plane, car là je constate qu’ ils se permettent de ce donner  ce droit, cette autorisation qui est importante..
La joie est un sentiment qui se transmet me concernant, elle peut apporter du dynamisme aux autres, une bonne humeur. Elle peut faire battre notre cœur fort,  éventuellement  redonner le sourire.
Je pense que cette émotion ne vient pas toute seule, il faut la chercher, par exemple, en regardant sur l’instant présent ce qui se passe autour de nous, cela peut être un mot, un geste,  une nouveauté qui pointe son nez, une nouvelle réussite, un partage etc. Je dirais tout ce qui pourrait faire rebrousser le négatif.
La joie peut engendrer un dépassement de soi.
Pouvoir exprimer sa joie, pour moi reflète un signe de sécurité.
La joie peut aider à s’accrocher à la vie.
Je n’ai pas de souvenir de joie dans mon enfance, je pense qu’il y avait cette angoisse inconsciemment de montrer ma joie si une situation se présentait,  la frayeur d’être punie par mes mères, le peu de situation  liées à leurs attitudes comme : couper la langue de mon  doudou,  ou alors les roses qu’elles coupaient quand celles-ci étaient en bourgeon, alors que j’aimais les voir s’ouvrir, a peut-être provoquer  chez moi un blocage automatique,  de ne rien montrer de ma part.
Nous étions 6 en comptent Geneviève. Je dirais que pour ce thème, nous étions plus détendues que pour celui d’avant, avec un peu moins de silence. Ma concentration était difficile.
Un sujet intéressant et plus gai.

Escalier gris coloré – Du noir au blanc

BMP – Peinture n°199 – Escalier gris coloré 3 1Consigne  D’Emmanuelle :

Vous mettez du blanc en haut de l’escalier sur votre feuille et vous dégradez jusqu’au gris coloré.
Vous mettez du noir en bas de l’escalier sur votre feuille et vous dégradez en mettant une pointe de noir dans le gris et ensuite une autre pointe et ainsi de suite jusqu’à rejoindre le noir.

J’ai du mal à comprendre la consigne, ce matin plus qu’hier je ne sais pas si c’est ma concentration ou autre, mais ce côté angoissant ressort chez moi, toujours cette frayeur de ne pas réussir qui est là tout de suite qui ressort aussitôt. Mes mères nourricières sont la aussi !
Mais je dis de le dire Emmanuelle que je ne comprends pas est rassurant je sais qu’elle ne me fâchera pas. Au contraire elle me guidera et moi je ne lâche pas pour comprendre 🙂 Il fallait que je la relise plusieurs fois la consigne, je comprenais des trucs impossibles dans ma tête.
Donc j’ai procédé ainsi, j’ai mis mon gris sur une marche au milieu de l’escalier. Après j’ai pris un bol ou j’ai mis mon gris  en question et j’ai rajouté un chouia de blanc petit à petit à chaque changement de marche, pour arriver jusqu’en haut.
J’ai recommencé la même chose en commençant par la marche du milieu de l’escalier mais avec du noir pas avec du blanc. Pour arriver en bas de l’escalier.
Je n sais pas si j’ai bien compris… Je me vois petite. Mais Béatrice doit passer au-dessus de ce passé qui est là, ressort dans de nouvelles situations.