BMP – Dessin pour l’entête du blogue RAIVVI

Bandeau-RAIVVI-BDJe ne m’attendais pas à ce que l’on me demande cela.
Pour moi cela est un signe de responsabilité, et je prends au sérieux toutes les responsabilités.
J’en reviens au mot confiance qui est pour moi très important.
Emmanuelle a rhabillé le blogue, il est tout beau, sur son 31, ma première réaction quand je m’en suis aperçue a été : alors là Grr grr, il faut te tenir tranquille, pas de bazar. J’angoisse quand il fait des siennes, je me dis on est encore plus dans les grands que ce blogue est très vivant et qu’il a pris du galon en existence et ça c’est génial 🙂 il a une place importante, il est reconnu 🙂
Pour le dessin de l’entête du blogue je suis fière de l’avoir réalisé, car c’est aussi pour moi un signe de confiance qu’on me montre en plus envers moi. Je voulais qu’il soit réussi ce tableau, je voulais que ce dessin soit à la hauteur de ce que nous apporte ce blogue en aide, je ne voulais pas un trait de travers, je voulais simplement qu’elle soit cette entête aussi belle que la nouvelle tenue de ce blogue, je voulais que cela aille ensemble que toutes ses situations restent dans le positif envers le regard des autres personnes qui s’y promènent dans ce blogue.
Il n’y avait rien d’autre dans ma tête, du positif 🙂
Ce qui ma touchée aussi, c’est que mes tableaux représentent le groupe de Chambray mais en moi c’est un peu mort. Il manque de vie !  alors que sur le Blogue RAIVVI ils sont vivants, sur ce blogue ça bouge, ça tourne en mots, ça saute en couleur, cela passe du noir au multicolore, ça pleure, ça rit, ça danse.
Et il porte un nom ce blogue, et ça aussi c’est important, il n’est pas dans le silence, il est reconnu 🙂 il est visité par des anonymes, des timides, des silencieux  et par des personnes plus présentent aussi, voilà comme une partition de couleurs, je veux dire  aussi que il y a toujours du nouveaux que se produit dessus, voilà il vit, il est là, jamais  les portes fermées il est prêt à recevoir les écrits, et les farandoles de couleurs.

Oui je suis fière de ce blogue et je suis fière d’y être, que de belles personnes qui s’y trouvent, toutes avec une âme humaine, ce qu’on ne trouve pas partout !

Victime d’agressions sexuelles, une jeune femme obtient le droit de se faire euthanasier

Logo-Closer11/05/2016

Par

Estimant que sa souffrance morale était
« incurable » et « insupportable », les médecins ont autorisé une jeune femme de 20 ans à mourir ainsi que le permet la loi hollandaise.

Son nom n’a pas été révélé. Seuls son calvaire et sa fin terrible sont désormais connus du public.

Les autorités hollandaises viennent de faire savoir qu’une jeune femme de 20 ans avait obtenu l’an dernier l’autorisation d’être euthanasiée. Ainsi que le permet la loi des Pays-Bas, où le suicide assisté a été dépénalisé depuis plus de dix ans.

Victime d’agressions sexuelles dans l’enfance, entre 5 et 15 ans, la jeune femme a été tuée en 2015 par injection létale. Un collège de médecins et de psychiatres avait donné son aval. Estimant que sa souffrance morale et mentale était insupportable.

Selon les informations divulguées par la commissions chargée du suivi de l’euthanasie, la jeune femme souffrait d’un syndrome de stress post-traumatique qu’aucun traitement ni aucune thérapie ne parvenait à soulager.

Ces troubles mentaux incluaient ; entre autres, une forme sévère d’anorexie, une dépression chronique, des hallucinations et une tendance à l’automutilation. Ses douleurs étaient également physiques et clouaient la malheureuse au lit : « Il n’y avait pour elle ni perspective ni espoir » dit son psychiatre « La souffrance de cette patiente était insupportable. »

Si un tel suicide assisté n’est pas exceptionnel en Hollande, le cas de la jeune femme fait cependant débat car il apparaît que deux ans avant sa mort, cette dernière avait suivi un « traitement anti-traumatisme » qui semblait apporter des résultats très positifs et la soulageait grandement. Une thérapie abandonnée l’année suivante après que des experts indépendants avaient décidé que son cas était « désespéré ».

De même, s’il a reconnu que la souffrance mentale de la jeune femme l’empêchait de vivre, les autorités médicales ont toutefois estimé que son discernement n’était pas altéré et sa demande de mort assistée totalement rationnelle et recevable.

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