Question de Sissi

Bonjour,
J’ai une question :
« Lors d’un suivi en ligne », comment faites vous pour intervenir quand une de vos « patientes » ne se sent pas bien psychologiquement où autre.
Quand je lis les billets en ligne d’une personne dissociée fortement et qui va mal. Quelles sont les précautions que vous prenez ?
Merci.

26 réflexions au sujet de « Question de Sissi »

  1. Je suis triste et pas bien, en moi je ne je comprends pas pourquoi faire du mal.
    Ce blogue est beau en entier alors il faut le respecter. ll y a des pleurs, des rires, des couleurs, des formes, des nouveaux partages depuis peu, des liens nouveaux comme l’arrivée de Maud c’est beau, comme un petit bourgeon fragile qui va éclore en plus une nouvelle « empreinte », le tout enrobé d’une aide mutuelle voilà. Il faut respecter tous ces petits moments nouveaux qui arrivent pour les faire encore plus grandir.
    Je vais me coucher, j’ai trop de dissociations. Il faut que j’arrive à dormir, ce sommeil qui n’est plus.
    Il faut préserver, ce grand blogue c’est important : des vies, des identités avec leurs histoires, rien ne doit être rejeter ou autre, juste accepter ce qui arrive de beau sur ce blog et celui de Maud.

      1. Non Emmanuelle, je suis triste qu’elle n’ai pas compris le travail qu’on fait depuis plus de 4 ans. C’est important, zut là et oui faut le comprendre ce travail ! Et je suis très en colère ! et comme je ne vais pas bien ça me touche encore beaucoup plus 🙁
        Comme je l’ai marqué :

        « des nouveaux partages depuis peu, des liens nouveaux comme l’arrivée de Maud c’est beau, comme un petit bourgeon fragile qui va éclore en plus une nouvelle « empreinte » le tout enrobé d’une aide mutuelle voilà. Il faut respecter tous ces petits moments nouveaux qui arrivent pour les faire encore plus grandir.
        « juste accepter ce qui arrive de beau sur ce blog et celui de Maud. »

        Et je le pense fort.

        « il en va de la vie du blogue de le protéger. »

        Oui oui oui 🙂 trop d’accord. Mais pas que lui j’espère votre petite « grenouille caméléonne » aussi 🙂
        Pour l’abandon je ne sais pas si un jour ça ne me fera plus souffrir. Des marques dans mon inconscient sont là et me le font ressentir sans en comprendre la raison comme ça d’un coup.

  2. « J’aimerais juste savoir à qui j’ai à faire, quand vous lisez mon article sur celui de Béatrice avec les commentaires. C’est normal, et un minimum de respect. Vous devriez vous présenter, on dirait que vous avez peur de dire qui vous êtes.
    C’est vous qui nous prenez pour des gamines, si vous n’êtes pas là pour aider, vous pensez vraiment que vous aidez Béatrice ou que vous la tirez vers le bas ? Si vous êtes juste là en un positionnement voyeuriste, vous n’avez rien à faire là. Si vous êtes juste là pour observer, ce que je trouve un peu bizarre, les choses peuvent être vues de tous, sans avoir à se constituer un identifiant. Alors on s’abstiendrait vraiment de vos commentaires affligeants ! il faudrait peut-être avant tout se regarder dans le miroir, car si il y a bien quelqu’un qui ne devrait pas se permettre de parler ainsi c’est bien vous. De plus, vous me faites sérieusement penser à un profil de membre de ma famille parasite. »

    Je ne continuerais pas à vous répondre, cela ne sert à rien. Sauf à perturber Béatrice ! L’affaire est vraiment close !
    Une question, vous cherchez à protéger qui ? Vous, Béatrice, Emmanuelle ?

    1. Si l’affaire est close pourquoi vous me posez cette question qui est incompréhensible… ?
      C’est vous la première qui avez laissé un commentaire sur mon article sur le blogue de Béatrice, un commentaire qui n’a aucune utilité, juste faire croire que vous avez un rôle indispensable, sachant que je n’attends rien de vous et ne vous ai rien demandé, on ne se connait pas, et je sais que vous n’êtes pas thérapeute, alors bon.

    2. Je vous bloque Sissi, vous êtes ce genre de personne à toujours vouloir avoir le dernier mot. J’ai laissé une ouverture au cas où vous seriez une victime qui ait du mal à se déclarer, mais je dois protéger Béatrice. Je suis arrivée à mettre en lien Maud et Béatrice et je compte bien faire évoluer cette communauté virtuelle alors pardon mais vous êtes un élément perturbateur car non transparent.

      1. « Je dois protéger Béatrice. Je suis arrivée à mettre en lien Maud et Béatrice et je compte bien faire évoluer cette communauté virtuelle »

        Merci Emmanuelle.
        Et j’espère bien qu’elle va évoluer cette communauté virtuelle : AHH OUI )

          1. hé hé hé hé on se sent moins seule et puis ça nous donne la force de tenir debout devant nos difficultés, même si on est bancale un peu 🙂

    3. Tout à fait, si vous êtes victime n’ayez pas peur de le dire car vous êtes dans la maitrise et vous ne me renvoyez en réalité pas une personne de ma famille, mais le système familial en entier. N’êtes-vous pas passé de l’autre côté de la barrière en vous positionnant en garante de ce système familial, pour continuer à le faire vivre coute que coute ?

  3. Je ne sais pas trop ce qui se passe là, mais un peu de calme serait le bienvenu sur ce blogue qui est un lieu apaisant pour moi et pour les autres et j’en reviens à cet exemple aussi. Et je rajoute le mot entraide, et respect envers les uns et les autres c’est important.
    Sissi, Maud a aussi le droit à faire partager ses idées etc. sur ma page de blog ici.
    J’ai du mal là moi.

    1. Vous avez raison Béatrice. Nous n’avons pas besoin Maud et moi de se « crêper le chignon » sur votre page. Nous aurions dû penser que cela pouvait vous perturber.

      « Sissi , Maud a aussi droit à faire partager ses idées etc. sur ma page de blog ici. »

      Vous avez raison pour Maud.

      « J’ai du mal là moi. »

      Je constate qu’aujourd’hui vous n’avez pas l’air d’être très bien.

    1. Je suis sur le blog, pour regarder les tableaux qui y sont postés. Et les commentaires. Ça vous dérange Maud ?

      « que vous êtes une infiltrée masquée et que vous jouez un rôle »

      Et vous….

      1. lol je n’arrive pas à le croire, il s’agit d’un gag, vous êtes là pour voir jusqu’où on peut aller dans nos retranchements, on dirait comme dans une caméra cachée. Vous allez bientôt être démasquée.

        1. Je ne vous permets pas de m’écrire d’une telle façon.
          Je ne peux pas vous aider je vous le réécris. Les dissociations sont compliquées à comprendre et ça reste particulier.
          Je suis là pour lire les écrits et regarder tous les tableaux !
          Ne me prenez pas pour une gamine !

          1. J’aimerais juste savoir à qui j’ai à faire, quand vous lisez mon article sur celui de Béatrice avec les commentaires. C’est normal, et un minimum de respect. Vous devriez vous présenter, on dirait que vous avez peur de dire qui vous êtes.
            C’est vous qui nous prenez pour des gamines, si vous n’êtes pas là pour aider, vous pensez vraiment que vous aidez Béatrice ou vous la tirez vers le bas ? Si vous êtes juste là en un positionnement voyeuriste, vous n’avez rien à faire là. Si vous êtes juste là pour observer, ce que je trouve un peu bizarre, les choses peuvent être vues de tous, sans avoir à se constituer un identifiant. Alors on s’abstiendrait vraiment de vos commentaires affligeants ! il faudrait peut-être avant tout se regarder dans le miroir, car s’il y a bien quelqu’un qui ne devrait pas se permettre de parler ainsi c’est bien vous. De plus, vous me faites sérieusement penser à un profil de membre de ma famille parasite.

        2. Je suis allée voir sur votre blogue Maud, et j’ai lu ce commentaire :

          « Béatrice j’ai une question, comment avez-vous connu Sissi ? est-ce une de vos amies ? »

          Je vais vous répondre : j’ai repéré un tableau de Béatrice sur facebook, j’ai été curieuse et j’ai suivi le lien du blogue et depuis j’y suis.
          Ça serait avec plaisir mais nous ne sommes pas amies.
          Je suis son évolution au point de vue tableaux.
          Je ne savais pas qu’une personne pouvait avoir des troubles dissociatifs dus à un passé difficile.
          L’affaire est close.

  4. Pas d’inquiétude Emmanuelle sait qui prévenir au cas ou… c’est ça aussi la clef qui fait que ça fonctionne sur ce blog. Une sécurité est là.
    Quand ne je vais pas bien, du moins lors de mes dissociations violentes mes écrits sont comme ça, j’écris comme je le sens dans ma tête sur le moment ça ne se contrôle pas.
    Il faut attendre que mes dissociations soient moins fortes, parfois ça dure longtemps…
    Et les laisser s’exprimer est aussi important. Ne pas les refouler. C’est ça aussi le travail de ce blogue.
    Alors pas d’inquiétude tout est sous contrôle.

    1. Je pense cependant Béatrice que je vais bloquer Sissi. J’ai remarqué que vous vous dissociez à chaque fois qu’elle attaque et met en doute vos écrits. Mon devoir est de vous laisser la place sur le blogue et comme je pensais qu’elle était une de vos amies, je la laissais, mais maintenant ça suffit je pense. Elle ne cesse de pousser pour prouver que je ne suis pas à la hauteur. On a beau lui expliquer ce que l’on fait, elle ne lit pas.
      Au fait, avant le 2 mai, j’avais prévenu le docteur L. que vous commenciez à partir. Vous l’a t-il dit ?

      1. Alors je comprends mieux pourquoi il a mis en place le valium. Il ne me trouvait pas bien non plus, donc du même avis tous les deux. Emmanuelle. non il ne m’a rien dit, il me dit quand moi je pète les plombs trop loin avec vous. Mais il a dû tenir compte de votre mail la preuve.
        Moi il m’a dit que certains échanges entre vous restaient professionnels, que certains ne me regardaient pas. C’est là que je râle de ne pas savoir 🙂

        « Elle ne cesse de pousser pour prouver que je ne suis pas à la hauteur. »

        Elle est peut-être inquiète, les dissociations restent compliquées à comprendre, et puis ça fait peur aussi.
        Vous êtes à la hauteur Emmanuelle donc aucun doute là-dessus, pas de question. Et le docteur L. a confiance en vous, sinon je ne serais plus ici.
        Et c’est moi que vous ‘encadrez’ sur ce blogue-là pas Sissi.
        Les dissociations j’en ai tellement en ce moment, j’ai l’impression d’être le jouet de mes parties émotionnelles. Ouf 🙁
        Je crois que mes examens à l’hôpital n’arrangent rien, j’en sais rien peut-être rien à voir. Le déclencheur pour la force de mes dissociations je ne l’ai pas repéré, tellement je suis emprisonnée dedans parfois, donc difficile.
        Mais vous Emmanuelle de loin vous pouvez mieux repérer, observer. C’est important, et je ne vous en veux pas d’avoir prévenu le docteur L.
        Lui est inquiet sur ma santé et certaines de mes réactions que moi je trouve normales. Il voudrait me faire changer d’avis, mais les dissociations prennent la relève. Je ne m’en aperçois pas.
        Moi je reste sur le blogue voilà j’y suis biennnnnnnnnnnnn 🙂 c’est mon jardin, j’y suis en sécurité.

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