INECAT – Samedi 15 mars 2014 – Roberte Hamayon – ‘Jouer’ dans le chamanisme sibérien

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Art et Thérapie/Institut National d’Expression, de Création, d’Art et Thérapie
(Revue, et établissement d’enseignement supérieur délivrant des titres professionnels de médiateur artistique  et d’art-thérapeute  reconnus par l’État)
présentent
Séminaire mensuel à la Halle Saint-Pierre
2  rue Ronsard, 75018 Paris
Vivre et expérimenter la métaphore

Après quatre années consacrées aux questions : « Pouvons-nous redevenir artistes de nos vies ? », « L’énigme de la création est-elle ineffable ? »,  « Art-thérapie et changement de  paradigme », « L’avenir est-il oblique ? Pour l’avènement de la métaphore », nous abordons cette année des expériences vives métaphoriques, passant ainsi de la réflexion à sa mise en pratique comme approche du réel. « Il s’agissait en effet de savoir si les métaphores, et les jeux de mots, et les énigmes, qui ont pourtant bien l’air d’avoir été imaginés par les poètes par divertissement, ne portent pas à spéculer sur les choses de manière nouvelle et surprenante… »
Le nom de la Rose Umberto Eco

Chaque 3ème samedi par mois de janvier à juin 2014

18/01 ; 15/02 ; 15/03 ; 19/04 ; 17/05 ; 21/06

de 14H30 à 16H30
Samedi 15 mars 2014
Roberte Hamayon, Anthropologue spécialiste des populations mongoles et sibériennes, directeur d’études émérite à l’EPHE, ‘Jouer’ dans le chamanisme sibérien, exploiter la métaphore et la marge pour mieux anticiper l’avenir

Roberte Hamayon, à l’issue de la conférence, signera son ouvrage Jouer. Une enquête anthropologique, La Découverte

Entrée : 10 € – réservations recommandées,

5 € pour les élèves INECAT (sur présentation de leur carte d’adhérent de l’année)
communication@hallesaintpierre.org       Tel : 01 42 58 72 89
INECAT/Art et Thérapie, 27, rue Boyer, 75020 Paris, www.inecat.org

16-17 novembre 2013 – Regards – Journées d’automne

Logo-SFPEATLes 16 et 17 novembre 2013
à l’Institut Protestant de Théologie
83 boulevard Arago,
75014 PARIS

Depuis le regard du bébé qui découvre les obljets maternels (ou leurs substituts), puis son propre corps et, dans le miroir, son double, jusqu’à celui du vieillard qui regarde des photographies pour se remémorer…, notre vie est rythmée par des échanges de regards dont nous sommes aussi l’objet. C’est ainsi que « ce que nous voyons devant nous regarde toujours dedans », comme le remarque Georges Didi-Huberman (1999).

Télécharger l’argument et le programme
En cliquant sur le logo de la
La Société Française de Psychopathologie de l’Expression et d’Art-thérapie