BD – On avance sur Le Petit Prince

On avance, on avance doucement mais sûrement.
Nous en sommes arrivés aux chapitres 9 et 10 du livre du petit Prince. Un atelier qui s’est déroulé dans l’apaisement et dans la curiosité. Nous étions accompagnés d’une vidéo pour finaliser par des dessins colorés.
Nous mettons tout en œuvre M. et moi afin que cet atelier soit agréable et facile pour sa compréhension de l’écrit mais aussi pour la lecture pour les personnes qui y viennent. Les matériaux utilisés sont le pastel, la peinture, les feutres, crayons de papiers et feuille blanche du format du Book du petit prince.

Merci à toutes les personnes qui sont venues à cet atelier.
N’hésitez pas à cliquer sur les liens plus bas pour écouter l’histoire….

BD – Exposition à la Galerie Neuve du Sanitas à Tours – Sylvaine Viel-Notte


Hier, D., M. et moi sommes allés voir cette exposition, à laquelle j’étais invitée. Nous avons profité de ce moment pour voir comment nous pouvions aménager la notre pour le mois de novembre. J’ai dit, qu’on va être obligé de pousser les mur ! Parce qu’on est vraiment pas au top, on ne pourra pas tout mettre de ce que j’avais prévu et donc du tri est à prévoir. Mais on va y arriver ! enfin je pense, mais oui ! mais oui !
En attendant, j’ai fait un petit écrit concernant cette belle exposition que nous avons vu : celle-ci est remplie d’émotion. Elle nous transporte dans un autre monde !


Ce sont des portraits que Viel-Notte appelle des sauvages d’aujourd’hui des tribus. Ils sont pris dans la nature sans changement de couleur il n’y a pas de modification de rien. Tout comme elle ne fait aucune mise en scène.
Pour l’exposante il n’existe dans la nature que la moitié de ce qu’on voit sur les photos finales. Ce sont des photos de choses qui n’existent pas mais qui représentent pour Sylvaine Viel-Notte des tribus ou des éléments d’une tribu à la manière du Musée du quai Branly.
Par moment par exemple elle a trouvé dans ces photos une broche de fécondité. Cela vient de la flèche de Cupidon.
Sylvaine Viel-Notte me disait qu’il y avait un petit peu d’humour dans cette exposition. Que c’était à partir de là également que le jeune poète Ibrahima qui est de culture africaine est tombé dedans et qu’il lui avait dit : dans cette exposition « ça me fait penser à des masques de chez moi » des sorcières de son pays, et de là, il s’est mis a écrit dessus. C’est ainsi que pour cette expo j’ai laissé tomber mes tribus mon petit musée et ce poète Ibrahima a fait ses personnages avec moi et les poèmes.