BMP – Peinture sur soie


Mon premier essais.
Un peu d’histoire :
(source http://www.handpuzzles.com/histoire-de-la-peinture-sur-soie-japonaise/ )
Histoire de la peinture sur soie japonaise
by Vanessa
Soie, peinture est une forme d’art qui a pris naissance en Inde et en Asie de l’Est et a résisté à l’épreuve du temps. peintures sur soie remontent à 200 de notre ère en Inde, où la cire résister et techniques Batik sont tracées. Comme la tradition transmise par l’Asie de l’Est, le Japon a perfectionné les méthodes de culture de la soie et a adapté son propre style de peinture sur soie que l’art. Bien que le contenu, les influences et techniques ont été modifiées au fil du temps, la pratique de la pose de la peinture ou de l’encre sur le matériel de soie est restée constante.
Chronologie
Le premier développement de soie et la peinture a eu lieu en Inde autour du deuxième siècle de notre ère, et ce était peu de temps après que les techniques similaires ont été développés en Chine. L’art japonais a été fortement influencé par la culture chinoise. L’art complexe plus tôt du Japon est venu entre les septième et huitième siècles. Dans le neuvième siècle de notre ère, les Japonais sont devenus culturellement plus indépendante avec son art, avec la diffusion du bouddhisme. Ce est aussi à l’époque, ils ont découvert des méthodes de production de la soie et la peinture sur soie. Les premières peintures sur soie japonais ont été réalisées à l’encre noire ou de la peinture, et étaient généralement monochromatique. Entrer dans le 14e siècle artistes japonais ont commencé à utiliser une gamme de pigments, ajoutant de la couleur à la peinture. Entre le 16ème et 18ème siècles peinture sur soie commencé à se répandre depuis ses origines en Asie de l’Est à travers le continent et finalement le monde entier comme le commerce intercontinental a commencé à avoir lieu. Au 18ème siècle, avec la montée de la révolution industrielle, la soie est devenue une toile facilement accessible et a été popularisé avec les pays européens comme la France. Aujourd’hui l’art de la peinture sur soie continue à prospérer et le Japon se classe supérieure comme l’initiateur de la tradition culturelle, affirme l’expert de peinture sur soie Gill Cuisine.
Origine de Peinture sur soie
La culture de la soie a eu lieu pendant plus de 3500 années, originaire de l’Inde et de la Chine. La soie est fabriqué à partir du matériau naturel produit par des vers à soie. Bien que le peuple chinois provenaient de la pratique de la récolte de la soie en Asie de l’Est, les Japonais mis la main des œufs de vers à soie et a commencé la production de la soie. Ce est par le Japon que la production de la soie se est répandue. Le Japon et la Chine ont commencé à utiliser des toiles de soie pour des moyens artistiques à travers le même temps, lors de la neuvième siècle de notre ère.
Influences
La plus grande influence pour la peinture de soie japonaise de son origine était le bouddhisme. Ce était avec le bouddhisme que le Japon est originaire son identité culturelle et artistique. Une autre influence de l’art japonais, et un thème commun parmi les peintures sur soie début, étaient des événements ou des héros historiques. Un autre thème commun dans l’art japonais est l’idée de «l’insignifiance de l’homme», qui est la raison de nombreuses peintures japonaises représentent la nature. Certains éléments naturels communs dans les peintures de soie japonais sont les oiseaux, les fleurs, la faune, les montagnes, les arbres et de bambous.
Pratiques
Jusqu’à ce que le 14ème siècle, les Japonais ont utilisé une brosse plutôt que d’un stylo pour la calligraphie et l’écriture, à laquelle leurs compétences concise et perfectionné dans la peinture peut être attribuée. Artistes japonais utilisent beaux coups et les détails de minutes pour composer des tableaux complexes. Une autre pratique courante dans l’art japonais au début est l’incorporation de la poésie écrite dans l’art d’aider à transmettre le message de la peinture. Bouddhistes japonais étaient aussi connus pour méditer avant et pendant peints, attribuant la spiritualité à leur art.
Techniques
La technique Serti est une façon d’utiliser les barrières résistant à l’eau pour décrire designs afin que les couleurs ne se mélangent pas. La Gutta résister technique utilise des résines à base d’eau pour créer des dessins. Cette technique génère une texture caoutchouteuse et est en général utilisé pour suspendre art plutôt que des vêtements. Similaire à tie-teinture, la technique de peinture Shibori utilise des colorants à séchage rapide pour créer des dessins colorés. Ce est une technique courante pour les vêtements de soie.


C’est une première pour moi d’essayer de faire de la peinture sur soie… je pense que c’est la texture qui m’a attirée et la douceur du contact. Et ce n’est qu’après que cette prise de contact avec ce matériel que le travail de couleur et les réactions m’ont intéressée. Mais pendant la naissance de mon travail c’est le mélange des deux sensations : la douceur et les couleurs qui finalement ont retenu mon attention. Mais aussi la concentration qu’il faut avoir.
Je ne savais pas trop comment commencer. Je suis allée voir sur Internet des vidéos, mais je n’y ai pas trouvé mon compte.
Je pense que c’est la découverte qui m’intéressait, pas de suivre les instructions mot à mot, comme le ferait une bonne élève. Quand c’est comme cela, je ne vois pas comment on peut savourer la découverte.
J’ai laissé parler mes pulsions, j’ai laissé parler ce qui me faisait envie dans mes gestes et dans les couleurs. Du moins ce que j’avais trouvé ce jour-là dans mon magasin favoris.
Je voulais que cette découverte et que le motif qui apparaîtrait sur ce support soit de moi, de ma patte.
C’est ça qui pour moi est une découverte, essayer et prendre plaisir de créer.
Je me suis donc installée dehors avec tous mes matériaux.
J’ai pris une grande planche en bois, sur laquelle avec des petites pointes, j’ai tendu ma soie, en tirant bien partout.
J’ai pris une petite forme au hasard pour commencer à mettre ma première couleur qui a été le violet.
J’ai été étonnée de constater comment celle-ci se répandait à une grande vitesse sur ma soie. C’était captivant mais aussi à la fois étonnant. Le côté : “je vais y prendre goût, commençait à pointer son nez !”, donc « excellent“. Puis j’ai continué en rajoutant d’autres couleurs et puis je me suis amusée à faire des mélanges sans aucune limites. Des limites, pour cette fois je n’en voulais pas, je voulais que ce soit ma propre découverte, pas de limite avec des mots à mots etc. Prendre du plaisir voilà !
Plus j’avançais et plus je prenais goût à faire naître ma forme sur cette soie qui ne ressemblait pas à grand-chose mais le plaisir était là. Je faisais juste en sorte que celle-ci exprime de grands mouvements, j’aimais bien cette démarcation qui apparaissait avec ces couleurs vertes et jaunes en fond et en surface des couleurs plus foncées.
Le touché de cette soie était toujours aussi agréable.
Une fois fini j’ai été étonnée du résultat, mais j’étais étonnée d’avoir, moi, été capable de faire naître une forme sans avoir suivi des instructions…
Après j’aurais eu d’autres couleurs plus gaies, cela aurait été sympa, donc ça sera peut-être la prochaine fois 🙂

Matériaux utilisés :

Couleurs verte, bleu, marron, jaune, violet.
Feuilles blanches 50×70 cm
Une planche en bois.
Piques de couleurs.
Tissus de soie

BMP – Un corps et de drôles d’ombrelles en couleurs


Les vacances scolaires approchent à grands pas.
Et je ne sais pas, j’ai entendu dire aussi, que dès que le soleil pointe son nez le cerveau est en ébullition pour les idées plus ou moins « bizarre » 🙂
Un corps et des ombrelles, enfin je dirais plutôt une légère forme en apparaît de celle-ci. Mais ce n’est pas bien grave, car dans mon monde du mouvement de mes pinceaux, il n’y a pas de limite et de « normes » rien de tout cela, juste de l’expression naturelle, du voyage et du trash et c’est cela que j’aime, ne pas chercher trop souvent de la logique ! D’ailleurs c’est quoi une logique et une normalité ? Me concernant, je ne sais pas trop !
Donc il y aura des ombrelles colorées, rondes, du moins elles le seront le mieux possible, pas trop petites, histoire de jouer à cache-cache. Je ris toute seule en écrivant cette phrase. Mon côté gamine n’est jamais loin quand il s’agit de s’amuser, donc histoire de jouer à cache-cache.
Il y aura également un corps légèrement de profil, pour garder cette espèce de mouvement, mais pas de visage, et oui, car il y a ce fameux jeux de cache-cache. Pas de jambes elle sont cachées par les « ombrelles » et les couleurs. Pourquoi un corps ? je faisais ce lien, qu’une ombrelle devait aller avec un corps, je trouvais que cet ensemble était harmonieux en courbe. Silhouette = couleurs = mélange = harmonie en courbe.
Finalement ça sera un tableau qui va peut-être nous faire miroiter et perdre l’équilibre car il y aura finalement un trop plein de couleurs. Il va nous enivrer ! Non je plaisante 🙂 quoi que allez savoir !

Comment avez-vous procédé pour la concrétisation de votre esquisse ?

J’ai donc commencé mon esquisse en faisant apparaître toutes les formes d’ombrelles. Mais en les dessinant, j’avais une forme de chapeau en tête. Un méli-mélo des deux : ombrelles et chapeaux.
Puis j’ai terminé par le corps.
J’avais cette envie également d’agrandir mon dessin au fur et à mesure qu’il prendrait forme peu à peu au court de sa naissance, mais je ne savais pas comment, j’attendais de voir sur le moment. Je voulais le voir grandir encore et encore comme une histoire sans fin.
Pour le manteau de mon dessin, je voulais qu’il fasse apparaître les vacances, l’air chaud, les couleurs du soleil, le calme. Bref toutes les odeurs des vacances.
Mais je ne voulais pas qu’au regard celui-ci nous brûle comme un coup de soleil ! Je souhaitais une petite goutte de fraîcheur pour nous accompagner. Comme un goût de liberté.

Matériaux utilisés:

Feuille de format 50 x70 cm à grain fin. Manteau conçu à l’aquarelle, finitions crayons de couleurs.

Que ressentez-vous face à ce dessin ?

Ma première réaction a été de me dire qu’on ne pourra pas me reprocher de ne pas avoir mis assez de couleurs. Mais il me semble que ce dessin manque de symétrie quand je le regarde.
Il me semblait qu’il y avait peut-être un petit peu trop de couleurs, mais cependant je ne ressens pas ce trop en observant mon dessin ni que j’ai eu la main leste avec mon geste du pinceau je n’en est pas de souvenir.
Je n’aime pas ce dessin je pense heum c’est Béatrice qui dit cela  !