20 réflexions au sujet de « BD – Que des feuilles »

    1. Bonjour Sylvie,
      C’est une rose, les roses chez moi on une histoire. Quand j’étais plus jeune, quand je faisais le jardin je m’étais accrochée à une rose que je voyais éclore tous les jours et un matin quand je suis allée la voir, ma mère nourricière l’avait coupée. J’ai pleuré et elle rigolait aux éclats devant moi. Cette rose me permettait de tenir devant tout ce que je devais faire, accomplir dans ce jardin.

      1. Je suis encore plus contente que ce soit une rose pour 2 motifs : le premier c’est que ma première impression était une rose et le deuxième est que la rose et le symbole de l’amour ! L’amour est présent en vous et bien au centre de votre être : dans votre cœur. Vous m’avez touchée.

        1. L’amour est là pour les personnes que j’aime et apprécie mais plus compliqué envers moi. J’y travaille.
          Je suis contente que ce tableau vous ai touchée 🙂

  1. Je ne suis là que depuis le 1 mars 2014 et n’étant pas Mme Irma, j’ignore totalement votre travail qui a été effectué depuis 1 an.
    Je respecte votre travail d’art-thérapeute, aussi je vous demande de bien vouloir respecter le mien qui est celui de psychologue clinicienne même si je ne suis pas digne de ce titre comme vous me l’avez écrit, d’autant plus que je suis Doctorante.
    Je ne suis pas là pour parler de mon cursus, mais de mes commentaires qui doivent vous paraître bien infantiles.
    Je prône la liberté d’expression et je compte bien la garder me concernant. Aussi et j’en suis désolée si cela touche à votre art, mais je continuerai à poser mes questions comme bon me semble. J’ai posé une question, donc je souhaite une réponse.
    Si ma philosophie ne vous plait guère, j’en suis fortement navrée pour vous. Si j’ai longtemps étudié, c’est bien dans un but et non pas pour retourner à l’école maternelle où j’ai l’impression de me retrouver sur ce blog. A 47 ans, j’ai passé l’âge de dépenser mon énergie à lire des remontrances de bas étages.
    Aussi, c’est avec beaucoup de respect, que je vous souhaite une bonne continuation dans votre travail et vos études et que Béatrice avancera au rythme qui lui plaira et avec ses idées à elle.

    1. Puisque vous nous quittez pour la deuxième fois en quelques jours et que vous avez déjà effacé votre dernier Aurevoir, auquel avait répondu Béatrice – sans aucun respect pour elle – je me permets de remettre en visible ce billet du 22 avril 2014 et de mettre votre présence sur le blog en tant qu’auteur et non plus éditeur et cette fois il n’y aura pas de question de chantage. Ce blog est un blog d’Art thérapie et non de psychologie. Vous pouvez monter le votre et demander à Béatrice et autres personnes du blog de vous y rejoindre, mais sans les œuvres.

      1. Je ne partirais pas de ce blog, que cela soit clair. Je ne sais pas ce qui s’y passe. Certaines choses ne me regardent pas et je respecte cela aussi. Si ce blog ferme, mon travail disparaitra et pensons aux autres personnes aussi, j’aimerais que vous pensiez tous à ce bien que ce blog peut apporter. Me concernant il m’apporte je ne reviendrais pas dessus, alors faite en sorte de bien vous entendre tous car j’aurais vraiment du mal à supporter quoi ce soit en déchirement en ou en dispute. Je me sens concernée, je me dis que vos mal entendus sont dus à mon travail sur le blog et je ne le veux pas. De cela non !
        Merci à tous! et moi je vous dis merci à tous de m’aider à passer cette période plus que difficile.

    2. « d’autant plus que je suis Doctorante. Je ne suis pas là pour parler de mon cursus, »
      Vous ne faites que ça, parler de vous et de votre cursus, pas grand chose si ce n’est rien sur la dissociation qui était le but de votre venue sur le blog.
      « Mon doctorat en poche, je me sentais toute puissante ! j’allais pouvoir guérir tous ceux qui souffrent ! » Avez-vous écrit le 23 avril dans le billet Souvenirs donc on est en droit de se poser des questions.

  2. mais je ne veux rien détruire rien rien rien je vous le promets je veux juste comprendre et grandir mais pour moi un avis est un avis et il doit être franc rien en mal à cela. Pourquoi détruire ce travail. Je ne comprends pas.

    1. Vous sentez notre discussion avec Catherine, c’est une discussion d’adulte. Vous êtes de nouveau renvoyé aux disputes entre vos mères, au moment où elles vous en faisaient porter la responsabilité et que tout était de votre faute. Non Béatrice, vous n’êtes plus une enfant, vous n’êtes responsable de rien et les discussions, même tendues sont constructives. Et si vous essayez de ne plus ménager la chèvre et le choux ou de ne pas fuir, vous êtes une adulte et vous participez à la conversation. Je sais que vous allez vous dissocier et que Grr Grr va prendre la relève.

    1. Pouvez-vous relire la définition que j’ai postée de l’Art thérapie ?
      Pas de jugements de valeur. Vous ne m’aider pas dans mon travail que vous dévoyez.
      http://artherapievirtus.org/RAIVVI/quest-ce-que-lart-therapie/
      D’autre part, Béatrice a déjà travaillé sur le bois de l’année dernière et pour l’instant nous sommes sur un travail au sujet de l’anniversaire de l’année dernière. Je ne trouve pas bon de renvoyer Béatrice à plusieurs choses en même temps. Laissons-là aller à son rythme et faire ses liens.

      1. Pour ma part, outre les couleurs, j’ai apprécié la verticalité qui se dégage de cet assemblage et des couleurs.
        Effectivement cette fin avril est un anniversaire, et pour l’Art Thérapeute que vous êtes c’est certainement l’occasion d’un travail important avec Béatrice.
        Mais il peut être important que Béatrice, qui a tellement tendance à se dévaloriser, puisse se rendre compte que ce qu’elle produit a un effet apaisant sur ceux qui ont la chance de regarder ses compositions.

          1. Constructive oui 🙂 mais je ne comprends pas la différence entre constructive et de valeur pour moi je ne fais pas de différence. Un avis est un avis et ça sort de la personne, il est franc je suis perdue avec cela.

          2. Noter une perception de la verticalité vous renvoie à votre manière de construire votre composition et peut-être aussi à votre manière de vous tenir debout vous sans référence à quelqu’un d’autre. Vous dire que c’est beau c’est un jugement de valeur qui met votre travail en compétition avec une référence morale qui est déterminée par nos codes sociaux qui n’ont rien à voir avec vous, mais qui vous renvoie directement aux valeurs morales qui vous ont été inculquées dans votre enfance et qui vous ont détruite.

        1. Je sais que mes dessins apportent plus que parfois mes écrits vous concernant, mais si un jour c’est moche il faudra me le dire car je suis capable de l’entendre et peut-être ce que vous trouverez moche je le trouverai beau qui sait ?

          1. Me connaissant, je serai capable de dire que c’est moche, mais en essayant de dire ce que cela fait en moi, en fonction peut-être de ce que je suis.
            Ceci dit si je ne commente pas tous les dessins qui me « parlent » plus ou moins c’est que je dois attendre qu’ils fassent sens en moi pour pouvoir en parler. Mais je dois dire que cette composition m’a émue.
            Et c’est vrai que l’interrogation d’Emmanuelle Lea sur le « bois » a fait remonter beaucoup de souvenirs concernant la difficulté de Béatrice à traverser un bois, avec la peur de sentir comme un fantôme.

          2. Ce sera encore une belle manière de vous maltraiter et de vous persuader que ce que vous faites est nul. Merci pour tout ce que nous construisons qui sera détruit en un rien de temps.

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