Conférence – Pratiquer l’ICV – L’intégration du Cycle de la Vie – 22 mai 2014

J_Smith[1]L’invitée du CeRIAVSif

Pratiquer l’ICV

L’intégration du Cycle de la Vie
Le jeudi 22 mai 2014
17 à 19 heures

JOANNA SMITH

Dans la limite des places disponibles
Réservation par téléphone

01 44 75 50 41

ou par mail
ceriavsif@hôpitaux-st-Maurice.fr

L’ICV permet de traiter les troubles de l’attachement, les troubles dissociatifs et les traumas à l’aide d’un outil original, la Ligne du Temps :
–   La Ligne du Temps est une liste de souvenirs, un souvenir par an, réalisée par le patient et lue au patient par le thérapeute, afin de faire visualiser chronologiquement ces souvenirs au patient.
–   Visualiser un à un les souvenirs de la Ligne du Temps de manière répétée, en partant d’un événement traumatique ou douloureux, permet au patient de connecter le souvenir traumatique au présent et d’éliminer sa charge émotionnelle : le patient réalise et intègre en profondeur que l’événement traumatique est passé.
–   La Ligne du Temps permet de consolider et de détraumatiser le patient en douceur et débouche sur une prise de recul de ce dernier sur sa propre vie accompagnée, typiquement, d’une meilleure image de soi, d’une amélioration des symptômes anxio-dépressifs et d’une résorption des tendances dissociatives et des symptômes post-traumatiques.

Assemblée nationale – Rapport d’information – Auteurs d’infractions à caractère sexuel : suivi et lutte contre la récidive

La mission d’information relative à l’exécution des décisions de justice pénale, créée en 2007 à l’initiative de Jean-Luc Warsmann, président de la commission des Lois, a souhaité consacrer son dernier rapport au suivi des auteurs d’infractions à caractère sexuel. Ces délinquants aux profils psychologiques particuliers sont aujourd’hui soumis à un important dispositif juridique visant à prévenir, par le biais de mesures de surveillance, d’assistance et de soins pénalement ordonnés, leur récidive. Depuis plusieurs années, le législateur s’est en effet attaché à bâtir un édifice juridique complet et pertinent, qui doit théoriquement assurer un suivi efficace de ces personnes. Cependant, – c’est là le principal constat de ce rapport – les moyens humains et financiers manquent pour mettre parfaitement en oeuvre les différentes peines et mesures prévues par la loi. Surtout, l’offre de soins spécialisés aux auteurs d’infractions à caractère sexuel fait défaut et ne permet pas l’administration, à ces personnes, des traitements psychothérapiques, comportementaux ou médicamenteux les plus innovants. Le présent rapport, en se fondant sur les bonnes pratiques et les réflexions qui émergent sur le territoire national, mais également sur des dispositifs développés à l’étranger, notamment au Canada, en Belgique et au Royaume-Uni, émet ainsi 33 recommandations visant à assurer un meilleur suivi, tant judiciaire que social et psychologique, des auteurs de violences sexuelles.
Rapport n° 4421 du 29 février 2012
Compte rendu de la réunion du 29 février 2012
Commission des lois
http://www.assemblee-nationale.fr/13/liste/rapport_information1.asp#san