Colloque – 20 novembre 2013 – Violences envers les femmes, la formation des professionnel-le-s

Colloque-violences-faites-aux-femmes-20-novembreFaculté de médecine Pierre & Marie Curie
105 boulevard de l’hôpital – 75013
Métro : gare d’Auterlitz

13h30
Accueil des participants

14h00
• Mot d’accueil
par le Pr Serge Uzan, doyen de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie (UPMC) – Paris 6
Ouverture,
par Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, porte-parole du Gouvernement
• Intervention
du Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’Ordre des médecins

14h25
Epidémiologie de la violence
14h35
Le cadre de la loi et le secret professionnel,
par Patrick Poirret, procureur général près de la cour d’appel de Nancy

14h45
• Le besoin de formation des étudiants en médecine
Résultats de l’enquête nationale (juin-novembre 2013) réalisée sous l’égide l’association nationale des étudiants en médecine de France, l’UPMC-Paris 6 et la MIPROF
• Témoignage
du Pr Roger Henrion, Académie nationale de médecine

15h 20
Outils de sensibilisation.
Trois courts-métrages pour comprendre les mécanismes de la violence, repérer et prendre en charge les femmes victimes,
Johanna Bedeau et Laurent Benaim
Grands témoins :
• Les mécanismes de la violence : Dre Muriel Salmona
• Le repérage : Dre. Emmanuelle Piet
• La prise en charge : un interne et un externe, ayant la pratique de la double écoute au CFCV
Echanges avec la salle

16h25

Présentation de supports de cours proposés aux formateurs , Pr Alexandre Duguet et Gérard Lopez

16h40

Conclusions

Pour vous inscrire, cliquez sur l’affiche du colloque

2 réflexions au sujet de « Colloque – 20 novembre 2013 – Violences envers les femmes, la formation des professionnel-le-s »

  1. La seule chose qui aurait pu nous intéresser, c’était l’intervention de Gérard Lopez qui une fois encore a botté en touche prétextant le manque de temps, il est vrai qu’on était déjà à trois quart d’heure de retard, pour faire un truc de trois minutes pour laisser la place à la Ministre. Pour le reste le message était : demander aux patient-e-s s’ils- elles ont subi des violences.

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