Montréal – Jacques Languirand – Animateur radio durant 43 ans – père incestueux ?

Logo Journal de MontréalMardi, 26 avril 2016

Jacques Languirand, né à Montréal le 1er mai 1931 (84 ans), est animateur de radio, dramaturge, écrivain, animateur de télévision, comédien, journaliste, réalisateur, metteur en scène, professeur et producteur québécois.
Touche-à-tout, polyvalent et encyclopédique, il est connu pour les pièces dramatiques qu’il a écrites, mais surtout en tant qu’animateur de radio. Il a animé durant 43 ans son émission radiophonique Par 4 chemins, diffusée sur les ondes de Radio-Canada. Celle-ci est entrée en ondes le 13 septembre 1971. Le 29 janvier 2014, il annonce qu’il se retire de la vie publique, ce qui incidemment met fin à son émission de radio. Il donne sa dernière entrevue publique le 1er février 2014 et anime cette même journée sa dernière émission. Tout au long de cette émission, il parle de la maladie d’Alzheimer dont il est atteint. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il met fin à son émission.
Il est le père de Pascal Languirand, chanteur du groupe Trans-X et de Martine Languirand (1957-2015)

Jacques Languirand aurait agressé sexuellement sa fille. C’est du moins ce que soutient Line Beaumier, qui serait l’ex-compagne de sa fille Martine Languirand, aujourd’hui décédée. Elle affirme avoir déposé une plainte contre l’ex-animateur de Par 4 chemins.
« Ma compagne des 18 mois avant son décès (22 juillet 2015) Martine Languirand, la fille de Jacques Languirand, a été victime d’inceste plusieurs années », écrit Mme Beaumier, dans une lettre publiée sur le web.
Elle soutient également que Jacques Laguirand, qui est atteint de la maladie d’Alzheimer, avait accepté de tout dévoiler dans sa biographie, Le Cinquième Chemin, mais qu’« un mandat d’inaptitude a empêché la vérité d’éclater. »
« L’auteure liée contractuellement par un contrat ne peut dévoiler l’inceste malgré l’accord de Jacques Languirand », poursuit Mme Beaumier.
Voici l’intégrale de la lettre publiée par Line Beaumier :
Je suis allée au poste de quartier, j’ai déposé une plainte contre Jacques Languirand. À suivre au criminel s’il y a des poursuites, il va y avoir enquête. Ma compagne des 18 mois avant son décès (22 juillet 2015) Martine Languirand la fille de Jacques Languirand a été victime d’inceste plusieurs années…
Le Cinquième Chemin de Jacques Languirand Martine avait tout dit, enfin elle avait eu l’accord du paternel pour parler. Tout a été enregistré, cependant un mandat d’inaptitude a empêché la vérité d’éclater.
L’auteure liée contractuellement par un contrat ne peut dévoiler l’inceste malgré l’accord de Jacques Languirand. Avant d’être atteint d’Alzheimer avancé le grand chef avait révélé l’inceste.
Sa lucidité n’étant pas en cause au moment des entrevues, il souhaitait tout dire et s’amender. http://huff.to/1qHPfo6
Jusqu’à quand des personnes d’influences et publiques seront préservées de par leur statut ?
Après Jutra, Aubut, Cloutier, Jacques Languirand ? Qu’elles (sic) seront les excuses pour ce dernier : histoire de famille, maladie, la victime est décédée?

Pour lire l’article, cliquez sur le logo du journal de Montréal

Enlèvement de l’avocate de son ex-mari : 15 ans de réclusion en appel pour Chantal Clos.

Logo-Pedopolis

Nos lecteurs constateront aussi par eux-même “l’objectivité” de l’article relayé ci-dessous, qui omet de mentionner un trio d’enjeux centraux de ce procès : les accusations d’inceste renouvelées, l’utilisation pour les neutraliser de la théorie du Syndrome d’Alliénation Parentale (du pédocriminel Richard Gardner) et de la théorie des Faux Souvenirs. Tout est très clair, et ils n’osent même pas citer le nom de Chantal Clos dans leur titre, nous l’avons ajouté pour la présente publication, bravo ! AFP et BFM n’ont de plus pas mis le soupçon d’un orteil dans la salle d’audience de Melun cette semaine, c’est facile à remarquer car la salle était quasi-vide, bravo encore. La Présidente à pourtant demandé mercredi à l’avocat des parties civiles de contenir une de ses embardées, et ce pour préserver l’image qu’auraient “les médias” de ce procès, nous nous demandons donc de quels médias il pouvait bien s’agir…

Avec le court recul dont nous disposons sur cette semaine de procès, il semble que le verdict ne soit pas si catastrophique, car la peine que souhaitaient obtenir les parties civile au jour 1 du procès était de 30 ans de prison ferme, mais malgré leurs efforts ils ont échoué à démontrer que l’objectif de Chantal Clos aurait été un homicide volontaire avec préméditation. Nous y reviendrons.

A suivre …

Enlèvement de l’avocate de son ex-mari : 15 ans de réclusion en appel

Chantal Clos, une femme de 58 ans qui avait enlevé en compagnie de sa fille l’avocate de son ex-mari fin 2009, a été condamnée vendredi à 15 ans de réclusion criminelle en appel par la cour d’assises de Melun, a indiqué samedi une partie civile. Chantal Clos reprochait à Me Pascaline Saint-Arroman Petroff d’avoir défendu son ex-mari dans les années 1990 dans le cadre d’un divorce très conflictuel. La peine prononcée à son encontre, assortie d’un suivi socio-judiciaire de 8 ans, suit les réquisitions de l’avocat général et confirme le verdict de première instance.

“La cour a estimé qu’il s’agit d’une personne à mettre à l’abri d’elle-même et des autres”, a commenté Me Nathalie Roret, qui représentait l’ordre des avocats du barreau de Paris, partie civile dans cette affaire.

Avocate emblématique, militante de l’égalité parentale et des droits des pères, Pascaline Saint-Arroman Petroff avait été enlevée le 21 décembre 2009 à Paris, et s’était retrouvée ligotée, bâillonnée et jetée à l’arrière d’un véhicule. Une trentaine d’heures après son enlèvement, l’avocate, aujourd’hui âgée de 69 ans, avait été abandonnée dans le froid d’une forêt enneigée de l’Oise, attachée à un tronc d’arbre.

Entre “les mains de Dieu”

Ses ravisseuses lui avaient donné un Lexomil, un morceau de chocolat et un peu d’eau, remettant son sort “entre les mains de Dieu”. L’avocate avait finalement réussi à se débarrasser du morceau de scotch collé sur sa bouche et à se défaire de ses liens pour se réfugier chez un habitant du village le plus proche.

“En première instance, Chantal Clos était très excitée, coupait souvent la parole”, se souvient Me Roret, “mais là elle est visiblement sous camisole chimique”. Les faits n’étant dans l’ensemble pas contestés, c’est la personnalité de l’accusée, décrite comme “complexe”, “apparemment normale mais sans empathie”, et la question de son discernement, altéré ou non, qui ont été au centre des débats depuis le début de la procédure.

Face à la cour d’appel, “son avocate a tenté de faire valoir les avancées psychologiques de sa cliente pour réduire la peine”, a rapporté Me Roret. Chantal Clos encourait 20 ans de réclusion criminelle. Anouk, la fille de Chantal Clos, poursuivie pour complicité, avait été condamnée à cinq ans de prison avec sursis lors du premier procès à Paris en 2013, et n’avait pas fait appel de la décision.