Nouvelle couleurs pour la couverture du livre:
de la modernité, de la gaieté, un peu de osez plus de la part de Béatrice dans l’originalité, un peu de relief. Je dois m’éclater 😜
Nouvelle couleurs pour la couverture du livre:
de la modernité, de la gaieté, un peu de osez plus de la part de Béatrice dans l’originalité, un peu de relief. Je dois m’éclater 😜
J’ai découpé deux formes presque carrées, sur ma feuille d’encadrement cartonnée. Mais je voulais rester un peu sur la forme du livre. Les mesures sont 25cm de largueur sur 29cm de longueur.
A côté, j’ai découpé une bandelette d’environ 3cm, que j’ai placée entre mes deux formes presque carrées.
J’ai pris du ruban collant marron et j’ai tout collé ensemble, sur les photos on peut apercevoir en travers le papier collant et cette bandelette.
Le temps que cela sèche, j’ai donc fabriqué la petite fille du livre en attendant, j’ai gardé le même style et la même forme, comme prévu. J’ai juste rajouté légèrement ma patte.
Pour sa réalisation, j’ai pris le même carton que ma base de la couverture du livre. Une feuille simple car je trouvais qu’il y aurait trop de légèreté au toucher et vite froissable et cela aurait été moins solide aussi.
Une fois dessiné, j’ai découpé avec des ciseaux et au cutter. J’ai fais le rond. Ensuite j’ai continué en y mettant la couleur.
J’ai mis la petite fille découpée de côté.
J’ai repris le début du travail de ma couverture. L’étape suivant était d’y coller une espèce de toile, à petit trous, de couleur blanc cassé. Je devais consolider ma base absolument.
J’ai ensuite laissé sécher le tout.
Je devais ensuite, fabriquer la couverture finale du livre.
J’ai donc choisi de prendre quelque chose de doux en couleur, et de léger au touché, en feuille de couleur vert-clair légèrement transparent. Vous saurez pourquoi en regardant la suite de la naissance de cette couverture.
Voilà pour l’instant. Je dois attendre que le tout soit bien sec, et je reprendrais mon idée de couverture plus tard.
Il me reste beaucoup de travail encore, mais j’avance doucement. En faisant des pauses pour pouvoir bien rester dans le temps présent.
Je vérifie encore et encore mon travail, mais ça c’est presque normal, car je fais la même chose quand je dois partir de chez moi. C’est peut-être l’angoisse, où alors une façon de me rassurer, je penserais plutôt à cela.
Je n’ai pas vu le temps passé non plus, ma concentration m’était demandée absolument, pas de musique rien, juste le bruit de dehors, et ma petite dernière qui venait observer l’avancement de mon travail.
J’ai eu aussi des dissociations, mais comme je vérifiais souvent, ça m’a permis de ne pas faire trop d’erreurs pour l’instant.
Je ferais la suite plus tard, j’ai besoin de faire une pause, donc patience pour la suite peut-être dans la semaine 🙂