Réclamation sur les droits d’auteurs

Le 09/04/12 05:33, « support@blogger.com » a écrit : »
Une réclamation adressée à Blogger, en vertu du Digital Millennium Copyright Act (DMCA), identifie une partie de votre contenu comme une infraction présumée aux droits d’auteur de tiers. En conséquence, nous avons rétabli les messages concernés à l’état de « brouillon » (en l’absence de mesure de notre part, nous pourrions faire l’objet d’une plainte pour infraction aux droits d’auteur, qu’elle soit fondée ou non. Les URL des messages concernés sont répertoriés à la fin de cette notification.) Vos messages, tout comme les images, les liens et les autres contenus, n’ont donc pas été définitivement supprimés. Vous pouvez modifier les messages et retirer le contenu qui porte atteinte aux droits d’auteur avant de les republier. Les messages seront alors à nouveau visibles par vos lecteurs.

Quelques informations : le DMCA est une loi relative aux droits d’auteur aux États-Unis qui définit des directives sur la responsabilité des fournisseurs de services en ligne en cas de violation des droits d’auteur. Si vous pensez que vous disposez des droits de publication du contenu faisant l’objet de cette réclamation, vous pouvez déposer une notification de contestation indiquant que vous bénéficiez de cette autorisation. Pour déposer une notification de contestation, consultez la page

http://www.google.com/support/bin/request.py?contact_type=lr_counternotice&product=blogger.

Après suppression de toute information pouvant permettre l’identification des personnes concernées, la réclamation que nous avons reçue sera mise en ligne par un service appelé Chilling Effects sur

http://www.chillingeffects.org

Cette procédure est conforme au Digital Millennium Copyright Act (DMCA). Pour rechercher la réclamation DMCA associée à la suppression de votre contenu, consultez la page de recherche de Chilling Effects sur
http://www.chillingeffects.org/search.cgi, et saisissez l’URL du message du blog qui a été supprimé. Si nous venons à apprendre que vous avez republié le message sans avoir supprimé le contenu/lien en question, nous le supprimerons et le comptabiliserons comme une violation sur votre compte. Des violations répétées de nos conditions d’utilisation peuvent entraîner la prise d’autres mesures à l’encontre de votre compte Blogger, notamment la suppression de votre blog et/ou la clôture de votre compte. Les réclamations DMCA concernant le contenu de votre blog peuvent également entraîner la prise de mesures à l’encontre de tous les comptes AdSense associés. Si vous avez des questions d’ordre juridique concernant cette notification, nous vous suggérons de prendre conseil auprès d’un avocat. Cordialement, L’équipe Blogger chargée des URL faisant l’objet d’une réclamation :
[http://viols-par-inceste.blogspot.com/2010/01/nicolas-genka-lepi-monstre-par-noel.html]

J’ai donc raccourci mon emprunt à l’article de Monsieur Noël Blandin. Ce blog est une agrégation de liens vers d’autres sites, je respecte donc toujours les droits d’auteurs ne vous en déplaise. L’éditeur est ficelle, il a changé la configuration de son site et il n’est plus possible d’avoir accès à l’article.
N’aurait-il pas été plus élégant de m’écrire en m’indiquant que le lien n’existant plus le billet n’était plus valable au lieu d’invoquer la loi et les sanctions ? Répression c’est beaucoup mieux surtout en ce qui concerne les viols par inceste.

Bibliographie / Biographie. Qui est Nicolas Genka ?

Par Noël Blandin / La République des Lettres, jeudi 21 janvier 2010.
Nicolas Genka – Eugène Nicolas pour l’Etat civil — est né le 3 décembre 1937 à Quimper, d’un père breton et d’une mère allemande. Au milieu des années 50 il sert l’armée française en Algérie à titre d’infirmier.

…/…
En décembre 1961, Christian Bourgois, directeur littéraire des Éditions Julliard, décide de publier le livre avec une préface de Marcel Jouhandeau. Les critiques saluent la naissance d’un vrai écrivain ; Jean Cocteau lui décerne un prix littéraire créé spécialement, le « Prix des Enfants terribles »; le livre devient un succès de librairie. Mais le scandale autour des questions d’inceste éclate et en juillet 1962 le ministère de l’Intérieur interdit le livre au nom de la protection des mineurs. Une partie de la famille de l’écrivain lui intente un procès.

La République des Lettres, jeudi 21 janvier 2010

Pour lire la suite du billet, cliquez sur le logo de la République des lettres
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Autres billets sur l’Epi monstre de Nicolas Genka
2/ 27 juin 2005 – Jurisprudence « L’Epi monstre » de Genka ne présentait pas pour la jeunesse un danger

Présidentielles, Justice et pièges à conviction, à l’ombre d’Outreau

06 Avril 2012
Par Marie-Christine Gryson
En période d’élections présidentielles on assiste à l’expression d’une volonté de renouveau voire de sursaut démocratique, c’est le moment des bilans et des programmes qui incluent toujours des propositions de réformes.
Qu’en est-il en matière de réforme de la Justice après Outreau qui est devenu la référence incontournable en la matière ? Le constat est affligeant pour Jean-Louis Nadal, ancien Procureur Général près la cour de Cassation, puisqu’il s’est exclamé dans le Nouvel observateur du 8 Mars 2012 « On a défiguré la Justice ! »
Le vocabulaire est direct et saisissant, il ne peut qu’interpeler car les prises de position de cet ancien Haut Magistrat allaient toujours dans le sens du renforcement de nos institutions démocratiques. Et je peux le révéler aujourd’hui – car il n’est plus en fonction – Jean-Louis Nadal a eu le courage de me dire personnellement qu’il avait beaucoup apprécié mon travail dans « Outreau, la vérité abusée » et qu’il avait aussi pris bonne note de mes préconisations. Or ces préconisations, dénommées modestement « suggestions » à la fin de mon ouvrage, étaient essentiellement d’essence psychologique à la lumière de ma longue expérience des assises, là où la Justice se donne à voir aux citoyens.
L’affaire d’Outreau est un cas d’école, une référence certes mais pas du tout pour ce que l’on imagine des prétendus dysfonctionnements de l’instruction. L’affaire a cumulé tout ce qui peut être imaginable en terme de déni des données psychologiques des comportements individuels et collectifs. C’est donc de dysfonctionnements du procès qu’il convient de parler.
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Autres billets sur l’affaire d’Outreau
1/ Outreau – La vérité abusée
2/ Outreau, la vérité abusée. 12 enfants reconnus victimes
3/ Outreau : Les lettres de Kevin Delay au juge Burgaud
4/ 24 février 2011 – La parole de l’enfant après la mystification d’Outreau
5/ Outreau : la télédépendance de l’opinion – « télécratie 4 » – « procès- téléréalité »
6/ Des troubles du comportement
7/ Saint-Omer – juin 2004 : Les enfants présumés victimes sont placés dans le box des accusés !
8/ Saint-Omer – Selon M. Monier, une telle configuration des lieux a eu un effet négatif sur le procès, personne n’étant à sa place
9/ Saint-Omer – Mercredi 2 juin 2004 – Le procès bascule le jour des rétractations provisoires 
de Myriam Badaoui
10/ La victime envahie par le souvenir traumatique ne marque aucune pause « pour réfléchir »
12/ Militantisme association
13/ Les points de défaillance au procès de Saint-Omer
14/ Florence Aubenas : le danger de la victime résiliente mêlée à toutes les causes15/ Un éclairage sur les rétractations et les contaminations
16/ Outreau : presse & justice – Florence Aubenas : je consulte le dossier d’instruction
17/ À propos des aveux de l’un des accusés acquittés d’Outreau
18/ Il s’avère que c’est l’ingestion d’un médicament – l’amobarbital –, qui peut induire sous hypnose la construction des faux 
souvenirs, et non pas l’hypnose seule

Autres billets sur les fausses allégations ou faux souvenirs
Contre les fausses allégations : Ma vie en pièces détachées par Maritée préface de Muriel Salmona