Mandelbrot set

C’est du ouf à regarder ! et j’ai disparu…

Jeffrey Guterman‏Compte certifié @JeffreyGuterman
#MandelbrotSet #Mandelbrot #fractalgeometry -> https://www.youtube.com/watch?v=0jGaio87u3A&list=PLO7bQPaBH-

Vous avez publié cette exclamation sur tweeter, alors pourquoi ?

Les images de l’ensemble de Mandelbrot présentent une limite complexe et infiniment compliquée qui révèle des détails récursifs progressivement plus forts à des grossissements croissants. Le « style » de ce détail répétitif dépend de la région de l’ensemble à examiner. La limite de l’ensemble comprend également des versions plus petites de la forme principale, de sorte que la propriété fractale de l’auto-similitude s’applique à l’ensemble, et pas seulement à ses parties.
L’ensemble Mandelbrot est devenu populaire en dehors des mathématiques à la fois pour son attrait esthétique et comme exemple d’une structure complexe découlant de l’application de règles simples. C’est l’un des exemples les plus connus de visualisation mathématique.
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L’article de couverture de August American Scientific de 1985 a introduit un large public sur l’algorithme d’informatique du set de Mandelbrot. La couverture présentait une image créée par Peitgen, et al. [8] [9] L’ensemble Mandelbrot est devenu important au milieu des années 1980 en tant que démo graphique par ordinateur , lorsque les ordinateurs personnels sont devenus assez puissants pour tracer et afficher l’ensemble en haute résolution.

/en.wikipedia.org/wiki/Mandelbrot_set


J’ai fait une série de fractals brodés en 1987-1989 à Boston, lorsque j’ai rencontré Benoît Mandelbrot. Ce n’était pas simple, les ordinateurs personnels n’étaient pas encore en mesure d’imprimer tous ces dessins magiques. J’allais à l’MIT et on m’en donnait.

Apport des neurosciences affectives dans des situations de perturbations intenses du système émotionnel par Yves Mairesse

Logo-Cairn.Info_Mairesse, Yves (2012). « Apport des neurosciences affectives dans des situations de perturbations intenses du système émotionnel », Cahiers de Gestalt-thérapie, 2012/2 (n° 30), p. 62-77.
« Je travaille donc avec l’hypothèse que certains patients en situation de dépression persistante ou de retrait schizoïde ont rencontré des situations affectives traumatiques au long cours où leur organisme en construction a été débordé ou sous stimulé. Ils ont dû se couper de l’environnement et organiser leur survie psychique en dissociant certains affects intolérables. Ce sont les sensations de vide et de dévitalisation qui prédominent. Ces affects dissociés sont peu communicables par les voies de la parole car non disponibles dans la mémoire sémantique. Ces processus de dissociation se seraient mis en place dans la période de pré-langage et se produisent régulièrement, au présent, dans les situations relationnelles où l’intimité affective devient prégnante et active des émotions plus intenses. Ces personnes ne parviennent que rarement à ressentir, encore moins à identifier ces affects dissociés. Ce sont les sensations de vide, la désappropriation corporelle, l’angoisse, les troubles psychosomatiques, et l’absence de désir, qui occupent la sémiologie clinique.
Selon Schore, il s’agirait de zones émotionnelles premières, d’états somato-affectifs, ayant été très mal régulés dans les étapes précoces du développement psychique et continuant d’être dissociés ce qui appauvrit grandement les ressources émotionnelles et les capacités de contact. Des études indiquent que des nourrissons occupés à se dissocier suite à des situations émotionnelles mal régulées y placent une énergie énorme ; dès lors ces énergies ne sont plus disponibles pour engager leur développement affectif, neuronal et cognitif. »

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