Une séance au GEM 37 pas comme les autres, pas de dessin mais une activité de concentration et manuelle.
J’ai eu du mal à suivre. Dans mon cerveau ça ne suivait plus. Agacée je voulais arrêter. Je me sentais diminuée dès le début. Toujours cette partie qui est toujours en avant et qui ressort aussitôt pour me mettre en boule.
Mais je devais continuer je m’y suis reprise à plusieurs fois avec de l’aide mais j’ai avancé lentement. Cette activité s’appelle Capteur de rêve, attrape rêve ou alors aussi sous le nom de Dream Catcheur.
Quand on m’avait dit le nom cela était complètement inconnu pour moi, mais j’étais très intriguée et cette partie de moi qui voulait découvrir était là. Je pense que c’était de ne plus me rappeler ou j’en étais dans le avant pour pouvoir continuer le mouvement avec la laine qui a causé souci. D’ailleurs à la fin j’ai fini par faire à ma façon pour le dernier rond car ce sont aussi les trous qui me perturbaient. Trop large ça faisait un grand vide quand je les regardais, j’aimais pas.
Mais je devais suivre la consigne au début c’était important une des règles du centre, mais à la fin ça a été plus dur je me perdais trop.
Une fois fini, j’ai rajouté des perles et des plumes.
Je pense que je referai cette activité mais je voudrais la réussir toute seule sans aucune aide. Car je n’ai pas réellement apprécié cette première fois trop d’aide, pas assez autonome.
2 réflexions au sujet de « BD – GEM 37 – Capteur de rêve »
Voici le lien de Wikipedia du capteur de rêves: http://fr.wikipedia.org/wiki/Capteur_de_rêves
Pour vous si cette toile pouvait capter le mauvais, le violent et laisser entrer le doux et le bon ce serait super.
Peut-être pouvez vous en créer un chez vous, pour vous.
Catherine Lestang
Ils sont super beaux. J’aime bien le premier et le dernier, je ne connaissais pas l’origine etc. merci j’aimerais bien en refaire effectivement. Il faut que je me renseigne où je peux acheter tout ce qu’il me faut.
Je me dis que ça pouvait représenter une toile d’araignée au lever à la brise du matin une bonne toile 🙂 ou tout ce surplus qui est en moins qui me fait mal y reste collé à jamais après.
Beatrice