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Téléfilm : Lanester, avec Richard Berry à la poursuite d’un tueur en série

Réalisé pob_6e3d09_alvalm-nouvelle-couv-petitar Franck Mancuso. Scénario de Franck Mancuso, Franz-Olivier Giesbert, Valérie Toranian et Barbara Grinberg. D’après À la vue, à la mort, de Françoise Guérin.
Avec : Richard Berry (Eric Lanester), Emma de Caunes (Gabrielle Stahl), Hippolyte Girardot (Vincent Gerhardt), Bruno Salomone (Xavier Lanester), Nicky Marbot (Charles Kaminski), Isabelle Candelier (Jacynthe Bergeret), Agnès Blanchot (Max Fabrega) et Maher Kamoun (Kamel Halfi).
Dans l’ouest parisien, deux et bientôt trois crimes sont commis selon un énigmatique scénario. Chaque fois, la victime énucléée est l’objet d’une mise en scène macabre. En découvrant l’une d’elles, le commandant de police Éric Lanester perd la vue et la direction de l’enquête. Néanmoins, grâce à l’aide providentielle d’une jeune femme chauffeur de taxi, il décide de poursuivre la traque. Mais ses investigations vont bientôt le renvoyer à ses démons qu’il croyait à jamais enfouis. Quoi de plus probant qu’une cécité brutale pour se rendre compte de son propre aveuglement ? Lanester a l’intuition qu’il lui faut pénétrer au plus profond de lui-même pour venir à bout de la folie meurtrière. Aux prises avec son symptôme, il entreprend une démarche courageuse : regarder sa peur en face. Passant de l’action à l’introspection, le commandant Lanester mène son enquête à l’aveugle et pourtant, il n’a jamais été aussi clairvoyant…

Richard Berry : « Ce qui est très intéressant dans ce scénario, c’est la cécité temporaire de Lanester. On sort des sentiers battus. Nous ne sommes plus dans la démarche d’une enquête classique, comme c’est souvent le cas, que ce soit à la télévision ou au cinéma. Comment poursuivre un tueur en série quand on est littéralement plongé dans le noir ? C’est une situation inédite. Lanester est obligé d’exacerber tous ses sens pour avancer, pour résoudre l’énigme… Et il n’est pas seulement à la poursuite d’un tueur en série, il est également à la recherche de lui-même, de son passé. Il trimballe des casseroles depuis pas mal de temps. Son enfance a été chahutée, difficile. Tous ses traumatismes enfouis remontent à la surface de manière inattendue, sur une scène de crime, sous la forme d’une cécité psychogène. Pour comprendre pourquoi il en est victime et espérer recouvrer la vue, il est obligé d’entamer un travail sur lui-même. »

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Veterans use art therapy to battle PTSD

Logo-INDYSTAR.ComNov. 10, 2013
Written by Michael Anthony Adams
In an attempt to thwart the damaging, psychological effects of war, veterans are turning to art as a form of therapy.
Over the weekend, arts organizations, such as the Indianapolis Art Center, along with VonnegutFest, hosted events that focused on community engagement and creative expression for veterans.
“When you come back from deployment, a lot of times there’s a lot things rattling around in your head,” said Robin Hall, who recently retired from the Army National Guard after 33 years .
Hall says that when grief overtakes her, she concentrates on her sketches to block everything else out.

“Sometimes, you can draw things and you don’t really realize what you’re drawing. But once you step back and see what’ve you’ve drawn, you can see something in it that reminds you: ‘OK, yeah, I’ve been going through this grief, and this picture actually depicts something about that grief.’”
But there’s a stark difference between coping and erasure, says Tim O’Brien, a Vietnam veteran and award-winning author of “The Things They Carried.”
In an interview, O’Brien said the effects of war cannot be cured, and believes that it’s a dangerous mythology to think it can be.
“Once you go to a war, it’s like cancer: you don’t ever get over it,” said O’Brien. “It’s always with you. It’ll be with you until the day you die.”
On Saturday, O’Brien took part in a panel discussion at the Herron School of Art and Design as part of the Spirit and Place Festival’s Veterans Reclaim Armistice Day event.
The panel, moderated by NPR’s Steve Inskeep, invited veterans Jason Poudrier and Hugo Patrocinio to confront the challenges facing vets by sharing their methods of healing through the arts.
Benjamin Patton, grandson of Gen. George S. Patton Jr., presented a project produced by a former soldier who participated in his “I Was There” filmmaking workshop.
“In wars past, and in generations past, we asked vets to turn it off when they came home,” said Ben Shine, Director of Communications at the Indianapolis Art Center. “We expected them just to be able to turn off what happened to them and get back to life, and I think it shows that that doesn’t work. We need to open up pathways for them for healing and learning and to deal with what we asked them to go do.”
The Art Center was one of 26 organizations in the country to honor Veteran’s Glassblowing Day. In its inaugural year, the initiative aims to teach glassblowing to veterans as a way of helping them.
Hall was one of the veterans who learned the glass forming technique.
“A lot of times when you’re hurt by something that you’ve seen in combat, you hide those things in the back of your head, in your self-conscious, and you don’t want to deal with them,” said Hall. “I think through art some of that stuff comes out in what you’re doing—whether it be painting, drawing, glassblowing, or whatever.”
Contact Star reporter Michael Anthony Adams at (317) 444-6123 and follow him on Twitter: @MichaelAdams317.
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Dans une tentative de contrecarrer l’endommagement des effets psychologiques de guerre, les vétérans se tournent vers l’art comme forme de thérapie.
Pendant le week-end, des organisations d’arts, comme le Centre d’Art d’Indianapolis, avec VonnegutFest, les événements accueillis qui se sont concentrés sur l’engagement communautaire et l’expression créative pour des vétérans.
« Quand vous revenez de déploiement, pendant longtemps il y a beaucoup de choses qui font du bruit autour dans votre tête, » a dit Robin Hall, qui est récemment parti en retraite de la Garde nationale D’armée après 33 ans.
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« Parfois, vous pouvez dessiner des choses et vous ne réalisez pas vraiment ce que vous dessinez. Mais une fois que vous reculez et voyez ce que vous avez dessiné, vous pouvez y voir quelque chose qui vous rappelle : « bien, ouais, j’ai passé ce chagrin et cette image dépeint en réalité quelque chose de ce chagrin. »