Par une coïncidence particulière du destin, Franco Basaglia mourut peu de temps (à peine deux ans) après l’adoption, en Italie, de la loi 180, loi qui, en 1978, établissait l’abolition des asiles psychiatriques, résultat de la bataille de civilisation à laquelle il avait dédié toute sa vie. Les deux anniversaires, celui de la disparition de Basaglia et celui de la loi, sont donc inexorablement liés. Et je pense que c’est bien ainsi ! Même si honorer la mémoire de Basaglia signifie surtout ne pas se limiter à en célébrer l’œuvre et la loi, mais s’engager à donner une continuité au processus de transformation qu’il a initié et qui est bien loin d’être conclu.
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