Livre – Danger en protection de l’enfance – Dénis et instrumentalisations perverses

Danger en protection
Hélène Romano, Eugénie Izard
Maurice Berger (Préfacier)
Collectif

  • Date de parution : 15/04/2016
  • Editeur : Dunod
  • Collection : Enfances
  • ISBN : 978-2-10-074725-2
  • EAN : 9782100747252
  • Présentation : Dos carré collé
  • Nb. de pages : 169 pages
  • Poids : 0.345 Kg
  • Dimensions : 15,5 cm × 24,0 cm × 1,4 cm

La protection de l’enfance, en ce début de XXIe siècle, est marquée par une régression majeure. L’évaluation du témoignage des enfants victimes de maltraitance conclut de plus en plus souvent au déni de la réalité de ces violences. Après la mode de l’aliénation parentale et des enfants menteurs, c’est désormais le règne des « faux souvenirs ». Les parents protecteurs se trouvent d’emblée suspectés d’instrumentaliser leurs enfants, et les professionnels, qui soutiennent l’enfant, d’être partisans ou partiaux ; pendant que les auteurs s’érigent en victimes.
Ces dérives, qui ont évolué pendant des années de façon insidieuse, s’imposent désormais au grand jour. Sur le terrain, dénis, instrumentalisations perverses des situations, des procédures, et référentiels professionnels biaisés, entravent considérablement la protection des enfants et le travail des intervenants. C’est de ce constat, et de l’urgence d’en comprendre les mécanismes et les enjeux, que résulte ce livre d’alerte, co-écrit par des professionnels engagés dans le respect de l’intégrité et de la responsabilité : pour que la protection de l’enfance devienne, enfin, une réalité, et que la vie de ces enfants ne soit plus davantage fracassée.

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C dans l’air du 06-04-2016 | La justice à la recherche d’une réforme

Ajoutée le 6 avr. 2016

C’est un texte que l’on pensait enterré avec l’abandon de la révision constitutionnelle. Mais à un an de la présidentielle, le projet de réforme du Conseil supérieur de la magistrature, promesse de campagne de François Hollande, est finalement de retour depuis hier à l’Assemblée nationale. L’objectif de ce texte est de rompre le lien entre les pouvoirs politique et judiciaire en faisant désormais nommer les procureurs par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM).