Je n’osais point m’élever contre les requêtes du monstre barbu, auxquelles j’obéissais comme à des ordres. Après tout, maman m’a toujours demandé de faire ce qu’il nous demandait de faire afin de le remercier pour la nourriture, avoir des vêtements convenable à porter et l’éducation que l’on recevait, et ce, tous les jours. C’est vrai que c’était le maître de cette maison, le chef de famille.
Aujourd’hui, il m’apparaît clairement que je n’étais que son jouet afin de satisfaire ses fantasmes et ses moindres désirs. Je n’ose me retourner sur mon passé car je revois l’adorable enfant innocente, jouant à la poupée se fabriquant des histoires, tout sourire, que j’étais à 6 ans.
Ce type est un vieux pervers profitant de mes faiblesses pour sa propre satisfaction personnelle.
Il me demanda de m’allonger et d’enlever ma petite culotte en coton. J’avais de la peine à exécuter sa demande, mes jambes s’entrechoquaient et mon corps était soudé au matelas. J’ai eu de la difficulté à pouvoir m’exécuter, paralysée de peur.
Une impression étrange que l’on m’avait cousu mes lèvres avec du fil, je déglutis ma salive mais ma gorge était sèche. Quelques larmes salées s’échouèrent sur mes joues. Il se mit sur moi ce qui me fit tourner la tête contre le mur pour ne pas voir son visage.
Oppressée par le poids de cet homme infâme, j’étais désorientée, affolée et ébranlée par cette certitude qu’un serpent se tortillait autour de moi, impossible de pouvoir bouger, ni respirer. Il se frottait contre moi, juste comme ça.
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Aujourd’hui, il m’apparaît clairement que je n’étais que son jouet afin de satisfaire ses fantasmes et ses moindres désirs. Je n’ose me retourner sur mon passé car je revois l’adorable enfant innocente, jouant à la poupée se fabriquant des histoires, tout sourire, que j’étais à 6 ans.
Ce type est un vieux pervers profitant de mes faiblesses pour sa propre satisfaction personnelle.
Il me demanda de m’allonger et d’enlever ma petite culotte en coton. J’avais de la peine à exécuter sa demande, mes jambes s’entrechoquaient et mon corps était soudé au matelas. J’ai eu de la difficulté à pouvoir m’exécuter, paralysée de peur.
Une impression étrange que l’on m’avait cousu mes lèvres avec du fil, je déglutis ma salive mais ma gorge était sèche. Quelques larmes salées s’échouèrent sur mes joues. Il se mit sur moi ce qui me fit tourner la tête contre le mur pour ne pas voir son visage.
Oppressée par le poids de cet homme infâme, j’étais désorientée, affolée et ébranlée par cette certitude qu’un serpent se tortillait autour de moi, impossible de pouvoir bouger, ni respirer. Il se frottait contre moi, juste comme ça.
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