Livre –  L’inceste dans les yeux bleus d’une petite fille rousse

L'inceste-dans-les-yeuxFormat : Format Kindle
Taille du fichier : 705 KB
Utilisation simultanée de l’appareil : Illimité
Éditeur : Les Editions du Net (30 juin 2015)
Vendu par : Amazon Media EU S.à r.l.
Langue : Français
ASIN : B010QS4TY8
Présentation de l’éditeur
Les conséquences de tels actes sur un enfant ont détruit toute une famille. Je raconte comment j’ai réussi à vaincre cette ignominie, quels ont été les moyens qui m’ont permis d’y voir plus clair, et toutes ces belles rencontres de cœur qui ont favorisé ma guérison.
« Dégage, dégage, tu n’es pas une mère. »
Ce sont les mots prononcés par ma fille, ma petite Princesse !
Oh, ils sont allés directement dans mon cœur tel un coup de poignard.
Je suis restée pliée en deux, effondrée, prête à faire un mauvais geste. Le noir était dans ma tête : « je n’avais pas su protéger ma fille ».
Une amie à ce moment-là a sonné à ma porte.
C’est ainsi que j’ai regardé celle que j’ai été. Je ne voulais pas rester dans le déni.
Avec la maturité de l’âge, j’ai appris à combler, à cicatriser certaines plaies de mon cœur, à gérer mieux mon malaise. J’ai appris à me respecter et à laisser filer les moments difficiles sans les rejeter et me juger.
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UN sur CINQ : Interview de Mme Catherine Bonnet, consultante en pédopsychiatrie

Mme Bonnet explique les difficultés à détecter les signes physiques d’abus sexuels d’enfants. Elle souligne que lorsque les médecins posent des questions à un enfant, ils doivent écouter l’enfant avec beaucoup d’attention afin que celui-ci se sente en confiance et révèle des secrets qu’il aurait pu garder cachés au plus profond de lui-même. Mme Bonnet décrit la situation actuelle en France: les médecins se trouvent dans une situation délicate lorsqu’ils doivent choisir de signaler ou non les cas suspects d’abus sexuels d’enfants. Soit ils signalent les cas suspects et risquent des représailles juridiques, soit ils ne le font pas et courent le risque d’être condamnés pour ne pas avoir signalé un cas suspect. Seuls les médecins qui sont fonctionnaires ont une obligation de signalement. Mme Bonnet précise également que cette situation doit être clarifiée et souligne la nécessité d’une législation claire qui oblige les médecins à signaler les cas suspects d’agressions sexuelles et qui soit assortie d’une immunité disciplinaire, civile et pénale si le signalement est fait de bonne foi. Pour plus d’informations, visitez les sites www.coe.int/oneinfive, www.coe.int/lanzarote et www.coe.int/children