La justice réparatrice offre un nouveau mode de justice. Elle s’intéresse aux conséquences de l’acte criminel : blessures, traumatisme et torts subis par la victime. Elle permet aux victimes de parler de leur souffrance à leur offenseur (ou à des offenseurs qui ont commis des crimes semblables), d’obtenir les réponses à leurs questions, de se libérer de charges affectives négatives. Elle permet aux offenseurs de prendre conscience de la gravité de leur acte en écoutant les victimes, de mieux comprendre les conséquences de ce qu’ils ont fait et d’exprimer des regrets.
Orientée vers le futur, la justice réparatrice vise à promouvoir des solutions adaptées à la victime, mais aussi au contrevenant et à la communauté (famille, voisins, amis, collègues de travail…).
La justice réparatrice permet aux victimes qui le désirent de jouer un rôle actif dans la résolution de leur conflit alors qu’elles se trouvent souvent oubliées par le système judiciaire, dépossédées de leur pouvoir et contraintes de laisser à l’État l’entière responsabilité de leur affaire.
En un mot la justice réparatrice a pour objectif non pas la punition, mais la réparation des dommages (psychologiques et/ou matériels), la restauration d’une relation rompue, si possible, la réconciliation des personnes et la restitution du sentiment de sécurité.
« Le concept de justice réparatrice met l’accent sur la guérison des victimes, la responsabilisation authentique des délinquants et la participation des citoyens à la création de collectivités plus saines et plus sûres »
Orientée vers le futur, la justice réparatrice vise à promouvoir des solutions adaptées à la victime, mais aussi au contrevenant et à la communauté (famille, voisins, amis, collègues de travail…).
La justice réparatrice permet aux victimes qui le désirent de jouer un rôle actif dans la résolution de leur conflit alors qu’elles se trouvent souvent oubliées par le système judiciaire, dépossédées de leur pouvoir et contraintes de laisser à l’État l’entière responsabilité de leur affaire.
En un mot la justice réparatrice a pour objectif non pas la punition, mais la réparation des dommages (psychologiques et/ou matériels), la restauration d’une relation rompue, si possible, la réconciliation des personnes et la restitution du sentiment de sécurité.
« Le concept de justice réparatrice met l’accent sur la guérison des victimes, la responsabilisation authentique des délinquants et la participation des citoyens à la création de collectivités plus saines et plus sûres »
La très honorable Adrienne Clarkson, Gouverneure générale du Canada.