Qui est Myriam Badaoui ? La mère condamnée dans l’Affaire Outreau

18 mai 2012
Par Caprouille
…/…
Myriam Badaoui … ne comprend pas le mal qu’elle a fait à ses propres fils.
Est-il possible qu’un être humain soit dépourvu à ce point-là de toute once de conscience ?
Comment ne réalise-t-elle pas qu’elle a détruit la vie de ses enfants sans évoquer les dizaines d’enfants victimes supplémentaires ?
J’ose espérer une action protectionniste tacite de la part de justice car plus grave encore, Myriam Badaoui a proposé à un de ses fils, le 3ème de la fratrie, de l’héberger alors qu’elle a l’interdiction d’être en contact avec lui, d’autant plus qu’il est mineur et quelle a été déchue de ses droits parentaux.
Apprenant cela, Chérif, décidé à protéger son jeune frère, a téléphoné à Myriam Badaoui pour lui rappeler son interdiction judiciaire d’être en contact avec ses enfants mineurs, qui, officiellement ne le sont plus.
Celle-ci n’a manifesté aucune prise de conscience, aucun regret, aucune repentance vis-à-vis de ce que ses enfants endurent depuis si longtemps. Elle a rappelé son enfance difficile pour justifier ses actes et comme si tant d’horreurs pouvaient être effacées en un seul clic a osé demander une seconde chance à Chérif.
…/… elle lui dit avec un cynisme sidérant :
« Je suis à Montpellier, à l’Amiral. Je te donne 24 heures pour venir me tuer. Passé ce délai, c’est moi qui irais jusqu’à toi »
Il est à espérer qu’elle s’empêchera de mettre à exécution cette immonde provocation lancée à Chérif car l’entourage du jeune homme est bien décidé à ne pas la laisser l’approcher.
Chérif qui est actuellement en phase de reconstruction, s’est choisi une nouvelle famille, de nouveaux parents aimants et fiers de lui, dont ils portera bientôt le nom , souhaitant laisser définitivement l’affaire d’Outreau et tous ses démons loin derrière lui, les yeux fixés sur sa nouvelle destinée.
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Le Conseil constitutionnel censure la loi sur l’inceste (2ème mise à jour) Par Michel Huyette

Vendredi 17 février 2012
Par Michel Huyette
rem: cet article a été publié le 16 septembre 2011, puis mis à jour les 26 octobre 2011 et 17 février 2012.
mise à jour 2 : 
Après avoir censuré la disposition légale retenant la nature incestueuse du crime de viol, le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 17 février 2012 (lire ici), a logiquement censuré la même disposition concernant le délit d’agression sexuelle. 
Par ailleurs, la cour de cassation a récemment de nouveau annulé un arrêt de condamnation concernant un accusé sanctionné de vingt années de réclusion criminelle pour viol incestueux (lire ici). Diverses annulations de décisions sont donc à craindre en matière délictuelle.
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