est une association loi 1901 créée le 17 décembre 2015. Elle constitue un espace d’expression et de soutien aux victimes des actes de pédophilie qui se sont déroulés au sein du Groupe Saint Luc de 1970 à 1991. Les acteurs malheureux de cette période étaient des enfants, restés pour la plupart muets, incompris et seuls face au comportement déviant d’un prêtre à l’aura et au charisme trompeurs.
Aujourd’hui ce sont des hommes dont la parole, enfin se libère de la chape silencieuse sous laquelle certains adultes les avaient confinés. Les objectifs principaux de cette association sont d’enfin faire reconnaître les traumatismes que ces enfants ont subis et dont ils portent encore les fêlures, mais aussi de lever le voile sur la responsabilité de l’Archevêché de Lyon qui n’a peut-être pas pris les mesures à la hauteur de la gravité des actes commis (voir l’onglet « La Position du Diocèse de Lyon« ).
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3 réflexions au sujet de « Association La Parole Libérée »
Ce site web rappelle le « Droit », mais en fait, il ne s’agit que de « droit canon », autrement dit, des règles chrétiennes ou seulement catholiques !
Pourquoi continue-t-on à tolérer que le clergé s’estime au-dessus du Droit français ? Tout curé qui reçoit une confession indiquant qu’un adulte est dangereux a l’obligation légale de signaler tout mineur-e ainsi en danger.
martin
François Devaux est l’invité de Ca Jazz à Lyon ce jeudi
Pour réponde à votre question :
parce qu’on est en train de faire un retour en arrière et qu’on a la trouille à mettre en lien avec les mixtures religieuses actuelles qui ménagent tout le monde et n’affirme pas la laïcité.
Emmanuelle Cesari
Bonjour,
En 1960 (?) & en 6e, âgé de 12 ans, à la pension collège (lycée ?) privé et confessionnel Lamartine (?), à Belley, dans l’ain…
• Un surveillant, Perdrix, prenait plaisir à claquer fort les élèves de façon à leur faire taper la tête dans le mur. Entre autre. Un vrai sadique, visiblement.
• Un prof de dessin d’art, très cabossé (handicapé à la suite d’un accident ? ou de naissance ?) avait une façon particulière de confesser. S>ofa, chatouyilles, papouilles… Je suis allé voir ailleurs, mais les autres? Jusqu’où celui-là tripotait-il ? Se « contentait »-il de cela ?
Il serait utile de pouvoir interroger l’ensemble des élèves de cette classe d’âge
Mouise Lichel