D’un désert à l’autre
Serge Lazarevic
Date de parution : 28/04/2016
Editeur : Presses de la Cité
ISBN : 978-2-258-13636-6
EAN : 9782258136366
Format : Grand Format
Présentation : Broché
Poids : 0.343 Kg
Dimensions : 14,0 cm × 22,5 cm × 2,3 cm
Résumé
24 novembre 2011, Mali, au pied des monts Hombori. Deux Français, Serge Lazarevic et Philippe Verdon, étudie l’implantation d’une cimenterie. Au terme de leur journée de travail, ils retournent dans le petit hôtel où ils ont pris pension. En pleine nuit, des hommes en armes pénètrent dans leurs chambres et les traînent de force vers un pick-up qui s’enfoncent dans la nuit en direction du nord. Serge Lazarevic n’est pas inquiet : il n’est ni journaliste, ni salarié d’un grand groupe, quelle valeur pourrait-il avoir ? C’est l’affaire d’un ou deux jours, pense-t-il, le temps que les ravisseurs comprennent leur méprise…
Trois années vont se passer avant qu’il retrouve la France. Entre-temps, Philippe Verdon aura été abattu d’une balle dans la tête et lui-même aura approché le dernier cercle de l’enfer. C’est cette histoire que lui-même et son ami Renaud Blondel racontent, mais aussi celle qu’il a vécu dans « l’autre désert », celui de son difficile retour. Libéré le 9 décembre 2014, l’ex-otage affronte les souffrances post-traumatiques, les aberrations de l’administration française et la découverte qu’il a été confondu avec un homonyme peu recommandable… L’ensemble forme un récit dur, poignant, mais rempli d’espoir.
Biographie de Serge Lazarevic
Serge Lazarevic. Né à Belgrade en 1963, il arrive à Paris en 1971. Il poursuit ses études jusqu’en terminale avant d’exercer tous les métiers ou presque dans le secteur du bâtiment. C’est par goût du voyage qu’il a accepté la mission au Mali que lui proposait Phlippe Verdon. Il est le père d’une fille de 25 ans qui s’est battue sans relâche pour son retour. Renaud Blondel. A 43 ans, professionnel de la communication, il aime arpenter le monde loin des sentiers battus, notamment au Mali.
Passionné par l’expérience vécue par Serge Lazarevic, il a pris contact avec l’ex-otage par l’intermédiaire de France Info, mû par le désir d’en écrire l’histoire. Le livre est né de leur rencontre.
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Entretien France info du 8 juillet 2015
samedi 23 avril 2016 13h15
3 réflexions au sujet de « Livre témoignage ESPT – « D’un désert à l’autre » de Serge Lazarevic otage durant 3 ans »
Cette vidéo est inadmissible, intolérable, cela me met en colère.
Qu’à fait le Président à part l’accueillir à son arrivé ?
Laissé pour compte, pas de prise en charge, j’ai honte d’entendre cela envers une victime.
L’administration fait bien ressortir que monsieur Serge Lazarevic n’est qu’un numéro et qu’on est pas foutu de lire les documents qu’il remet. Les demandes de l’administration ne sont pas possible envers cet homme. Ou est l’aide pour lui ? Comment peut-il se reconstruire se sont des mois perdus là ! Cette aide aurait du être mise en place dès qu’il a mis son pied mis sur le territoire français mais non on laisse faire. Mais sans aide il ne peut se remettre digérer alors l’administration les politiciens et toute la clique qui ne manque de rien bougez-vous car il y a d’autres victimes qui comme lui en sont au stade de survie. Bravo à ce monsieur de dire ce qui ne va pas ! vous méritez un respect et une bienveillance voir plus et surtout une aide !
Beatrice
J’ai posté les liens vers des émissions et la dernière date d’aujourd’hui dans le 13 heures 15 de la 2 parce que Serge Lazarevic décrit des conséquences des ces 3/4 ans qui ressemblent fort aux vôtres. J’aimerais que vous preniez de la distance avec la révolte et que vous notiez ce qu’il y a de semblable à vous.
Emmanuelle Cesari
Mémoire, neurone, vertige, attaché, invisible et point d’interrogation envers la médecine, humiliée comme l’été dernier et autre, isolement, souvenirs qui me hantent, pas effaçable, maltraité avec la nourriture.
Pas mal de points, le mot « séquestré » aussi mais pas dans la même situation de ce monsieur victime.
J’ai du mal à ne pas être en colère quand j’écoute cette vidéo.
Comment peut-on traiter une personne comme cela avec autant d’indifférence ?
Le titre de son livre parle bien je trouve le mot « désert » oui il se retrouve dans un autre désert vide aussi terrifiant et dans son pays !
Beatrice