Les perceptions des intervenants au sujet de la relation d’aide par Internet
MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN TRAVAIL SOCIAL
PAR SERGE GAGNON
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À HULL
23 juin 2004
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5 réflexions au sujet de « Les perceptions des intervenants au sujet de la relation d’aide par internet »
oui met les un tervenant fond quoi quand la persone va male est que sa se passe derière lordinateure ou que le signot d’alerte il le voit pas
Beatrice
Parce que vous pensez sans doute que quand vous écrivez comme ci-dessus on ne voit pas le signal que ça ne va pas ? C’est encore une croyance que vous vous appliquez à vous répéter pour vous torturer : « pauvre petite Béatrice, personne ne voit quand ça va pas ! ».
Et si, on voit tout.
Qu’est-ce qu’on fait derrière l’ordinateur ? et bien on est pas dans la croyance de tout le monde que l’ordinateur ne permet pas d’être actif, il permet de pendre la distance nécessaire devant votre colère du week-end et de vous répéter comme à chaque week-end : arrêtez de pourrir la vie de votre entourage et reprenez vos pinceaux et dessinez.
Emmanuelle Cesari
Est-ce qu’un rappel historique sur les premiers tâtonnements en matière d’aide et/ou de soutien par téléphone ou minitel serait pertinent ?
– Pourquoi ces formes de « prise en charge » ne se sont pas développées ?
– Peut-on parler de prise en charge ? Une étude épistémologique ou/et éthymologique sur cette expression serait-elle intéressantes ?
– Que sont devenu les sites par téléphone et par minitel ? Comment ont-ils évolués ?
– Existe-t-il encore des centres d’écoute du type SOS… avec l’explosion d’Internet ?
Angéli
Oui, je vais mettre quelques billets en ligne sur la question des débuts.
Il existe toujours plein de centres d’écoute. Je travaille avec Viols Femmes Informations qui dépend du Collectif Féministe Contre le Viol (CFCV).
La relation d’aide par Internet me semble ne pouvoir être qu’un complément.
Dans ma pratique, on finit par se téléphoner et par se voir.
Auteure obligatoirement anonyme
Changer de plaisirs et sortir de l’addiction, tout un programme…
Une campagne d’aide financée par l’Europe :
« les ex-fumeurs rien ne les arrête » !
avec mail et sms de soutien, gadgets variés et stand dans les manifestations publiques avec de jolies hôtesses, une campagne très active !
iCoach
iCoach est une plate-forme de coaching en ligne qui aide les personnes souhaitant arrêter de fumer. Le coaching virtuel, ou l’induction d’un changement de comportement dans un environnement en ligne, repose sur des travaux de recherche innovants, une expérience clinique pratique et l’expertise de psychologues et d’experts de la communication.
Accessible gratuitement dans les 23 langues officielles de l’UE, la plate-forme iCoach a déjà prouvé son efficacité. Plus de 30 % des personnes ayant utilisé iCoach finissent par arrêter de fumer.
Mais iCoach ne s’adresse pas seulement à ceux qui souhaitent arrêter: son but est également d’informer ceux qui ne se sentent pas encore prêts à écraser leur dernière cigarette. C’est ce qui fait d’iCoach un programme unique. L’utilisateur est invité à remplir un court questionnaire visant à déterminer à quelle étape il se situe dans le processus d’arrêt de la cigarette. Le questionnaire évalue son comportement, son attitude et sa motivation.
http://www.exsmokers.eu/be-fr/index
Althaea OFFICINALIS