L’association Mémoire traumatique et victimologie dévoile dans un rapport les lourdes conséquences à l’âge adulte des violences sexuelles subies dans l’enfance, faute de prise en charge appropriée. En France, une femme sur cinq et un homme sur quatorze déclarent avoir subi des violences sexuelles. Les enfants sont les principales victimes : 81% ont subi ces violences avant l’âge de 18 ans, dont 51% avant 11 ans et 21% avant 6 ans. Devenus adultes, leur « santé physique est impactée », explique Muriel Salmona, psychiatre et présidente de l’association Mémoire traumatique et victimologie, pour qui il faut former les médecins.
Une réflexion au sujet de « La mémoire traumatique, « véritable torture » des victimes de violences sexuelles »
Le mot guérir me laisse dans le doute… un système formidable en France en santé monsieur le présentateur ouvrez vos yeux ! Oui il faut bouger, encore faire des choses, former les médecins, quitte à les former aussi etc… tout n’est pas négatif mais beaucoup à revoir.
Beatrice