9 réflexions au sujet de « Demande de nouvelles »

  1. Béatrice et si vous la dessiniez cette chose à deux pattes ? un beau dessin 🙂 histoire de vous occuper les méninges… donnez des nouvelles régulièrement. On apprécie de vous suivre, même si cela va mal le blogue est fait pour ça 🙂

  2. Merci à vous Catherine et Emmanuelle de vos réponses.
    Quand je lis le commentaire de Béatrice, je trouve qu’elle s’est repliée sur elle-même, c’est inquiétant.

    « Je deviens féroce. Je la tiens, c’est pas moi qui la tuerai et qui la laisserait se tuer. »

    Cela me rassure de savoir que vous êtes là Emmanuelle, pas loin d’elle, même si vous vous chamailliez. Effectivement il ne faudrait pas qu’elle fasse une bêtise. Elle qui est en confiance avec le docteur L. n’a même pas réussi à lui parler. Béatrice doit être très mal.

    1. « Féroce » j’aime pas ce mot, trop violent, sa donne une image de lionne enragée et c’est pas vous 🙂

      Je dirais que vous ne lâcher pas le morceau et que même si c’est pour m’aider, pour mon bien, et bien ça m’énerve. Une partie de moi se met en colère, cette partie de moi qui ne veut pas de limites, faire comme elle veut etc est encore présente quand je vais mal, tout comme celle qui veut mourir aussi. Rébellion totale.

      Tenace comme le docteur L 🙂 !

      J’aimerais comprendre pour le changement de mon statut sur le blog, car je suis pas violente ou quoique ce soit envers les personnes du blogue, je les respecte. Sinon il faut me le dire.
      C’est du à mon mal-être ou à mes troubles ? ou les deux ?

      1. C’est surtout dû à votre incapacité de garder des limites. Régulièrement, il est nécessaire de vous les reposer. Vous partez dans tous les sens et vous repoussez toujours les limites. Vous n’êtes pas allée chez le docteur L., vous inondez le web de commentaires plus ou moins opportuns. En ce moment beaucoup de travail extérieur ne nous permet pas d’être sans cesse vigilant sur le blog. On reprendra notre veille soutenable dès que vous vous serez recadrée vous-même. On attend votre travail, parce que faire n’importe quoi vous laisse vous répandre en textes sombres et dessin non aboutis.

        1. Le docteur L. me redit pour le cadre que c’est important pour ma stabilité, vous avez raison Emmanuelle, oui, mais vous êtes un peu dure là avec vos limites. Est-ce que je mérite que ce soit aussi dur ?
          Je vais finir par hiberner comme sur la photo de l’oursonne sur le blogue, je l’aime cette photo 🙂
          Que voulez vous dire en écrivant : « dessin non aboutis ? » car peut-être oui je me mélange dans l’ordre mais je l’ai fini.

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