ANNE SERRE, L’INCESTE ET LA JOIE, D@NS LE TEXTE
Notes prises en écoutant l’émission.
Inceste est un mot des faits divers ?
C’est quoi cette idée ?
Madame Judith Bernard allez voir votre psy svp qu’il vous en parle un peu…
Il ne s’agit plus de divagations littéraires pour abolir la morale trop présente comme en 68, il s’agit désormais de santé mentale, d’enfant en devenir, de petit d’Homme et de dérives qui coûtent un maximum à notre société.
En littérature, qu’est-ce qu’une relation ? Prenez le dictionnaire pour savoir de quoi vous parlez.
L’enfant peut-il consentir à une telle relation incestueuse ?
L’enfant a-t-il le choix de choisir la joie ? Et l’emprise, vous n’en avez jamais entendu parlé ?
Toute l’œuvre de Bergman tourne autour de l’inceste et pas pour parler d’une extase mais pour montrer le soulagement de la violoncelliste parce que c’est la fin de ce mode de vie.
Vous trimbalez fortement les idées des intellos des années 68 qui ont fait d’énormes dégâts en sautant leurs enfants. Ces enfants sont maintenant des quinqua qui fréquentent les hôpitaux psychiatriques et les psy. Dissociés, vous les fréquentez au quotidien et vous les trouvez joyeux parce que vous ne voyez que l’apparence, l’une de leurs multiples personnalités qui leur ont permis de survivre.
Vous êtes dangereuse.
Je ne pense pas que vous ayez été intellectuellement honnête en emmenant Anne Serre et sa Petite table soi mise, sur ce terrain glissant.
La naissance d’un écrivain est un phénomène cathartique dans le cas de cette narratrice. Vous mélangez tout et c’est grave. Vous détournez les propos de l’auteur.
L’aveu est une parole de coupable, une victime confie ce qu’elle a vécu, elle n’avoue pas sauf dans votre esprit pervers.
Christine Ango fait des dégâts, voulez-vous entrer en compétition avec elle ? J’espère qu’il s’agit d’ignorance de votre part et non d’idéologie pernicieuse.