L’OMS recommande de jouer aux jeux vidéo, le temps de l’épidémie

L'OMS recommande de jouer aux jeux vidéo, le temps de l'épidémie
jeux vidéo, le temps de l’épidémie
30/03/2020
L’Organisation mondiale de la santé et de grands éditeurs de jeux lancent une campagne mondiale. Baptisée « Play Apart Together », elle promeut la distanciation sociale.
L’Organisation mondiale de la santé et les plus grands éditeurs de jeux vidéo trouvent un terrain d’entente. Depuis le 28 mars, les plus grands acteurs du secteur, dont Activision Blizzard et Zynga, ont lancé une vaste campagne de promotion. Ils rappelent les mesures de distanciation sociale recommandées pour endiguer l’épidémie de coronavirus. Le tout par le biais de messages, récompenses ou événements intégrés directement à leurs jeux respectifs, relève USA Today.

L’OMS soutient cette initiative

Elle y voit un moyen de sensibiliser « des millions de personnes », a fait savoir Ray Chambers, l’un de ses plus hauts représentants. « Les éditeurs de jeux encourageront les joueurs à rester à distance . Ils doivent observer d’autres mesures de sécurité, dont l’hygiène des mains », a-t-il complété dans un communiqué.

« Nous sommes à un moment crucial pour évaluer les retombées de cette pandémie », a-t-il fait savoir sur Twitter. « Les entreprises de l’industrie des jeux ont une audience mondiale – et nous encourageons tout le monde à #PlayApartTogether (jouer chacun de son côté, mais ensemble, ndlr). Plus de distanciation physique + d’autres mesures aideront à aplanir la courbe + à sauver des vies. »

Un tournant pour l’OMS

L’appui de l’OMS apporté à l’industrie des jeux vidéo a de quoi surprendre. Par ailleurs, en juin 2018, et malgré les protestations des éditeurs de jeux, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement reconnu l’addiction aux jeux vidéo comme maladie mentale.
Les troubles liés au « gaming » ont ainsi été ajoutés à la classification internationale des maladies (CIM-11), où sont référencées un très grand nombre de pathologies, par différents codes.
jeux vidéo le temps de l’épidémie
En l’occurrence, l’OMS définit l’addiction aux jeux vidéo par une perte de contrôle, une priorité progressive accordée au jeu par rapport à d’autres activités et par la poursuite de l’activité malgré le constat évident de conséquences négatives sur sa vie. Il suffit de présenter ces trois caractéristiques pendant au moins un an pour soit disant devenir dépendant. Selon une estimation de l’OMS, 2 à 3% des joueurs sont concernés.

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La vie future avec Pepper

La vie future avec Pepper
Les avantages et inconvénients du robot humanoïde

Les avantages et inconvénients du robot humanoïde

Les avantages

Ainsi, les robots humanoïdes semblent montrer de nombreux avantages que l’on peut énumérer une nouvelle fois :

Remplacer un homme lorsqu’il est absent

La capacité à remplacer un homme lorsqu’il est absent est également un grand avantage. C’est d’ailleurs ce qui distingue l’humanoïde des autres robots : il est capable d’être autonome durant plusieurs heures.
C’est le but principal d’un robot : remplacer un homme dans des taches difficiles voir impossible. C’est dans ces conditions que se développent les robots humanoïdes. Ainsi, on les verra apparaitre dans des secteurs tels que la guerre. Créer des robots capables de tuer est un grand sujet de débat. Équiper des robots d’armes et leur donner ordre de tirer sur tout ce qui bouge est un danger pour l’humain. Pourtant, on voit apparaitre des robots guerriers tels que l’apparition du projet Robotic Rodeo, qui montre un véhicule autonome équipé d’une mitrailleuse et tirant sur des cibles potentielles. Dans d’autres domaines que l’armée, on peut observer l’apparition de robots dans le bâtiment.

L’humanoïde Atlas

C’est le cas de l’humanoïde Atlas, mis au point par le MIT (Institut de technologie du Massachusetts) ; un impressionnant bipède de 1.80m capable de soulever une poutre de 10 kilos et de la déplacer sur plusieurs mètres. Évidemment, ce n’est que le début et qui sait ? Peut-être qu’un jour, il sera capable de soulever des charges de plus de 100 kilos.

La collaboration entre l’homme et l’humanoïde

Elle pourrait augmenter la production des industries et améliorer les services (le secteur tertiaire). C’est d’ailleurs ce que dit Fumio Kanehiro de l’AIST (Advanced Industries Sciences and Techonlogies) :

« Un robot ayant une forme similaire à un humain peut opérer dans un environnement pensé pour un être humain et même travailler en collaboration avec des travailleurs humains. »

La vie future avec Pepper
Conçu par la société française Aldebaran le premier robot de compagnie n’est autre que Pepper. Ce robot est capable de reconnaitre les expressions du visage ce qui lui permet de s’adapter selon votre humeur ou l’ambiance de la maison. Pour rendre possible cette compréhension des sentiments Pepper possède dans sa tête 4 micros, 2 caméras et un capteur 3D, le tout situé dans sa tête. Mais Pepper ne sait pas que reconnaitre les émotions, il pourra aussi occuper les enfants. Il sera doté d’un humour et pourra apprendre à connaitre son utilisateur. En effet, plus il passera de temps avec sa famille « adoptive », mieux il réagira aux humeurs des habitants de la maison. Plus il en apprendra sur les goûts de ses possesseurs, plus il sera capable de surprendre et de divertir ceux-ci. Toutes ces informations seront stockées dans un « cloud » (base de sauvegarde) commun à tous les robots d’Aldebaran.
Les robots arrivent enfin dans les maisons et dans le privé. Pepper sera commercialisé au Japon aux environs de février 2015 pour aller dans les magasins mais comme Aldebaran dit dans son site « Le but ultime de Pepper est de vivre avec les humains, les magasins ne sont qu’un commencement… »

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