Atlas 2016 & More Parkour Atlas 2019

Atlas & More Parkour Atlas

Atlas, The Next Generation
23 févr. 2016


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More Parkour Atlas
24 sept. 2019

Inquiétante étrangeté dont parlait Freud.
Les robots ne nous angoissent plus du tout parce qu’ils sont de plus en plus humain.

Uncaany Valey

Vallée dérangeante

I Feel Fantastic

In ancient Greek mythology, Pygmalion was a highly accomplished Cypriot sculptor. Though skilled at imitating the human form, and well acquainted with it’s subtleties, he became disgusted by it when he witnessed the Propoetides prostituting themselves. These women were punished by Venus for their lack of worship with a coarseness of skin and a crudeness of nature, and were then forced into prostitution. Seeing this, Pygmalion the sculptor was repelled and could no longer appreciate women.
Seemingly alone, Pygmalion sought to create for himself a perfect, pure, unsullied companion. He used his particular skills to this end: he created a statue bride.

What you are about to watch is a mysterious video. It’s origin is attributed variously, and almost certainly spuriously, to various abstract artists or surrealists. The truth is that what we are seeing, and what we perceive to be strange and disturbing, is actually beauty to it’s creator.
Perhaps what we are viewing is the work of a modern Pygmalion. To him, her toneless voice, the paleness of her skin and the comparative vibrancy of her lips may indeed be the very embodiment of a perfect woman…
Consider the mind-scape of the creator. In whose mind does this appear beautiful? In whose mind is this pure, near worshipful? Are we missing out on his perspective?

Who are we to be afraid or to judge them? He may well love her fully, perhaps more fully than any of us could ever hope to be loved. In the mind of her creator, she is a near goddess; the perfect representation, not just of femininity, but the peak of human potential. A perfectly satisfactory being.

Le protocole de l’analyse à l’épreuve du numérique

Article – Cynthia Fleury Le protocole de l’analyse à l’épreuve du numérique
Fleury, C. (2015). Le protocole de l’analyse à l’épreuve du numérique. Adolescence, t.33 3(3), 523-534. doi:10.3917/ado.093.0523.

Résumé

Quelle est la place des nouvelles technologies de la communication dans le protocole analytique ? Est-il possible d’effectuer un travail analytique, voire de faire une « séance » par voie numérique ? Celle-ci est par nature à l’abri des rapports sociaux classiques et des formes de pression et de domination habituelles ?
Probablement que la scénographie analytique est garante de la cessation des modes panoptiques. En tout état de cause, quelles sont les conditions « numériques » de possibilité de la cure analytique ?

Introduction

Tout d’abord, l’évolution des modalités de la cure analytique depuis Freud montre que l’orthodoxie des pratiques demeure structurellement plastique pour correspondre à la singularité du couple analyste-analysant et permettre, lors des séances successives, la progression phénoménologique de la cure.
Depuis les années 2000 et l’émergence du web 2.0, de nouvelles modalités de pratique analytique sont demandées de la part de patients, indifféremment installés dans la cure ou la commençant. Les questions de la mobilité et de l’immédiateté, comme celle de la place des nouvelles technologies, sont devenues majeures.

L’organisation de la circulation des regards

Le protocole de l’analyse à l’épreuve du numérique.
Par ailleurs, la scénographie freudienne de l’analyste, se situant hors de la vision directe de son patient, demeure archétypale mais dans la pratique clinique fait place à de multiples interprétations. Quoiqu’il en soit, il est certain que ce n’est pas la place de l’analyste qui compte mais l’organisation de la circulation des regards : d’une part, celui de l’analyste et d’autre part celui de l’analysant. Par conséquent le croisement et le non-croisement des regards se révélant mutuellement féconds pour le développement de la cure, comme la possibilité de pratiquer le « regard sur l’autre » tout en étant à l’abri de la réciproque.

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