Michel Briat – Lydia, survivor of the Bataclan theater slaughter

img_4162Pour aller sur le blogue de l’artiste, cliquez sur l’image

Je suis peintre, je vis en France.
Depuis 1995, je réalise une peinture chaque jour, en relation avec les actualités.
Aujourd’hui cela représente 10 500 pièces.
Mon sujet c’est de peindre les images de la presse, en tant que monochromes en acrylique ou gouache, sur un carnet de 14×18 cm (5,5 x 7 pouces).
A chaque saison je crée une nouvelle couleur, 4 par année, ce qui fait 68 nuances pour un projet de 17 ans.

Musées et galeries, collectionneurs, bloggeurs, tweets, partages sur le web, commentaires…
Vous êtes les bienvenus !


Michel Briat : I’m a french painter.
Since 1995, I do a painting each day, in relation with world news.
Today this represents 10 500 pieces.
My subject is newspaper pictures, in acrylic or tempera monochromes, on a sketchbook paper of 14×18 cm
(5,5 x 7 inches).
Each season has a new color, 4 for a year, that makes 68 shades for a 17 years project.
Museums & galleries, collectors, blog-sharing, tweets, embeddings, comments …You’re welcome !
Contact :
briat.michel@gmail.com


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Se soigner grâce à l’art c’est possible

A QUI S’ADRESSENT CES THÉRAPIES ?

Mon expérience d’art-thérapeute en institution pendant plus de 17 ans m’a souvent mis en contact avec

des adolescents et enfants, qu’ils souffrent de :

• troubles du comportement alimentaire
• dépendances, addictions diverses
• phobies scolaires
• précocité, troubles de l’attention, hyperactivité

Les  adultes  souffrant de

• dépression
• troubles bi-polaires
• dépendances et addictions diverses
• troubles du comportement (TOC, phobies…)

VIDÉO – Le témoignage d’une survivante du Bataclan à l’Assemblée

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15/02/2016
ATTENTATS
VIDÉO – Le témoignage d’une survivante du Bataclan à l’Assemblée

« Le seul moment où j’ai eu peur de mourir, c’est quand la BRI a tenté de rentrer dans la loge. »

Par cette seule phrase, Caroline Langlade a résumé la dureté de la soirée du 13 novembre. Ce soir-là, la mère de famille survit à l’attentat perpétré contre la salle de concert du Bataclan. En compagnie d’une quarantaine de personnes, elle passe trois heures interminables à empêcher un terroriste d’entrer. Elle essaye désespérément d’avoir des informations.

Life for Paris

Aujourd’hui, elle a créé et est vice-présidente de l’association « Life for Paris ». L’association veut regrouper les survivants et leur famille. Et en compagnie d’autres rescapés des attentats de novembre, elle était auditionnée par la commission d’enquête parlementaire qui a commencé ses travaux ce 15 février. L’occasion pour elle de livrer un témoignage poignant, et d’alerter sur des failles quant à la communication entre forces de sécurité et survivants, comme le montre notre vidéo en tête d’article.

Elle explique, notamment, comment l’un de ses compagnons d’infortune a fini par craquer et se lancer dans une entreprise terriblement dangereuse alors que les forces d’intervention cherchaient à pénétrer dans la loge, sans que les personnes qui y étaient réfugiées ne puissent être sûres de leur identité. La commission doit enquêter pendant 5 mois et rendre ses préconisations à l’été. Elle se rendra notamment au Bataclan pour tenter de mieux comprendre les circonstances du drame.

Pour voir la vidéo, cliquez sur le logo