En République démocratique du Congo
L’unité de la police de protection de la femme et de l’enfant dit avoir enregistré plus de deux mille cas de violences sexuelles dans la ville de Lubumbashi, au Katanga. C’est le commandant de cette unité de la police, le capitaine Aloïs Kalasa qui a révélé le bilan de travail réalisé, cinq mois, après la création de cette structure.
Aloïs Kalasa a déclaré : « Les cas les plus fréquents ce sont les cas des gens qui violent leurs enfants par exemple et le cas les plus frappant vous avez vu j’ai déjà arrêté quatre personnes qui ont eu des rapports sexuels avec leurs propres enfants. Vous avez un monsieur qui a eu des rapports sexuels avec trois de ses enfants dont une fille de 16 ans qui est enceinte. »
Tous les deux jours, une personne est arrêtée pour viol soit sur sa petite fille soit sur sa fille, affirme la même source.
La police de protection de la femme et de l’enfant, n’est pas une ONG, comme le croient à tort certaines personnes. Cette unité de la police a pour rôle de prévenir et de traquer les auteurs des violences sexuelles pour les déférer devant les instances judiciaires compétentes, précise le colonel Aloïs Kalasa.
Pour lire l’article, cliquez sur l’affiche l’inceste en RDC
L’unité de la police de protection de la femme et de l’enfant dit avoir enregistré plus de deux mille cas de violences sexuelles dans la ville de Lubumbashi, au Katanga. C’est le commandant de cette unité de la police, le capitaine Aloïs Kalasa qui a révélé le bilan de travail réalisé, cinq mois, après la création de cette structure.
Aloïs Kalasa a déclaré : « Les cas les plus fréquents ce sont les cas des gens qui violent leurs enfants par exemple et le cas les plus frappant vous avez vu j’ai déjà arrêté quatre personnes qui ont eu des rapports sexuels avec leurs propres enfants. Vous avez un monsieur qui a eu des rapports sexuels avec trois de ses enfants dont une fille de 16 ans qui est enceinte. »
Tous les deux jours, une personne est arrêtée pour viol soit sur sa petite fille soit sur sa fille, affirme la même source.
La police de protection de la femme et de l’enfant, n’est pas une ONG, comme le croient à tort certaines personnes. Cette unité de la police a pour rôle de prévenir et de traquer les auteurs des violences sexuelles pour les déférer devant les instances judiciaires compétentes, précise le colonel Aloïs Kalasa.
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