Titre original : My lover, my song
Année : 1970
Nationalité : Américain, Britannique
Genre : Drame
Durée 1h36
Acteurs principaux : Alexander BASTEDO, Patricia BRAKE, Janet BROWN, William DEXTER, Donald HOUSTON, Peter SALLIS, Romy SCHNEIDER, Dennis WATERMAN, Maggie WRIGHT
Distribution : Metro Goldwyn Mayer
1969 – Réalisé par John Wewland
Titre anglais : My lover, my son
Générique : Scénario: William Marchant, Jenni Hall, d’après la nouvelle Second Level, de Wilbur Stark, et le roman Reputation for a song, d’Edward Grierson. Directeur photo: David Muir (Metrocolor). Musique: Mike Vickers, Norrie Parramor. Chansons : I want the good things, de Sue Vickers et Billy White, What’s on your mind, de Sue, Mike Vickers et Norrie Parramor, Summer’s here, de Sue et Mike Vickers. Montage: Peter Musgrave. Décors : Bill Andrews. Son: Gerry Turner. Assistant réalisateur: David Alexander. Costumes: Gail Ansell. Effets générique: Carlotta Brown, Michael Hanaker. Directeur production : Al Marcus. Distribution: M.G.M. Durée : 95 mn. Sortie à Paris: 5 août 1970. Interdit aux moins de dix-huit ans.
Distribution: Romy Schneider (Francesca Anderson), Donald Houston (Robert Anderson), Dennis Waterman (James Anderson), Patricia Brake (Julie), Peter Sallis (Sydney), William Dexter (Parks), Alexandra Bastedo (Miss Clarkson), Mark Hawkins (l’amant de Francesca), Maggie Wright (prostituée), Janet Brown (Mrs Woods), Tom Chatto (Woods), Michael Forrest (inspecteur Chidley), Arthur Howard (juge), Paul Dawkins (1 er juré), Peter Gilmore (barman), Rosalie Homer (réceptionniste), David Warneck (Kenworthy) Chissie Shrimpton (amie de Kenworthy), Robert Wilde (assistant de Parks) et Cléo Sylvestre.
Résumé : Francesca Anderson, la séduisante épouse d’un brillant homme d’affaires londonien, Robert Anderson, ne peut oublier un amant dont la mort accidentelle hante ses nuits. Son fils lui rappelle sans cesse son amour disparu et elle ne peut s’empêcher d’éprouver pour le jeune homme une passion dénaturée et exclusive. James, trop faible, n’ose contrarier les caprices de sa mère qu’il admire éperdument. Assaillie par ses fantasmes érotiques, Francesca, jalouse, essaie de compromettre le premier amour de son fils avec une jeune fille nommée Julie. Puis elle dresse son mari et James l’un contre l’autre. Des liens étranges, coupables, se tissent entre la mère et le fils. La tragédie atteint son apogée au cours d’une dispute entre Robert et sa femme. James tue son père afin de protéger sa mère. Arrêté, jugé puis libéré, James parvient, avec beaucoup de peine, à fuir l’emprise de Francesca qu’il abandonne à ses remords pour rejoindre Julie.
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