J’ai demandé aux étoiles de venir me chercher
Carol Geoffroy
Broché
Paru le : 03/05/2007
Editeur : Philippe Rey
ISBN : 978-2-84876-088-9
ISBN : 978-2-84876-088-9
EAN : 9782848760889
Nb. de pages : 141 pages
Poids : 180 g
Dimensions : 14,5cm x 19cm x 1,1cm
« Pourquoi je ne veux pas accepter mon enfance ? Pourquoi je suis submergée en permanence par des angoisses qui gangrènent ma vie ? Bien des fois j’ai demandé aux étoiles de venir me chercher… »
« Guerrina tente de guérir de ses blessures de petite fille, de ces étés cauchemardesques passés dans le Sud-Ouest où elle accompagnait sa grand-mère, cuisinière chez les Morot. Étés meurtris par le « rockeur », beau-frère de Madame Morot, aux cheveux pleins de Brillantine, aux jambes de gallinelle sous un gros ventre mou, le rockeur qui emmenait Guerrina en bateau sur la rivière. Au retour de chaque promenade, alors que son corps brûlait de douleur, elle marquait son tableau noir d’une nouvelle croix…
Carol Geoffroy revisite la lumière menaçante de ces vacances suspendues, raconte les acteurs pittoresques de son enfance, cette enfance gâchée par la perversité d’un homme et par le silence des adultes qui ne voulaient rien voir. Un silence qui l’a laissée seule face à ses souffrances, à une insupportable culpabilité, et que l’écriture réussit aujourd’hui à conjurer, enfin.
« Guerrina tente de guérir de ses blessures de petite fille, de ces étés cauchemardesques passés dans le Sud-Ouest où elle accompagnait sa grand-mère, cuisinière chez les Morot. Étés meurtris par le « rockeur », beau-frère de Madame Morot, aux cheveux pleins de Brillantine, aux jambes de gallinelle sous un gros ventre mou, le rockeur qui emmenait Guerrina en bateau sur la rivière. Au retour de chaque promenade, alors que son corps brûlait de douleur, elle marquait son tableau noir d’une nouvelle croix…
Carol Geoffroy revisite la lumière menaçante de ces vacances suspendues, raconte les acteurs pittoresques de son enfance, cette enfance gâchée par la perversité d’un homme et par le silence des adultes qui ne voulaient rien voir. Un silence qui l’a laissée seule face à ses souffrances, à une insupportable culpabilité, et que l’écriture réussit aujourd’hui à conjurer, enfin.
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