Les groupes de paroles par Catherine Morbois et Marie-France Casalis dans Psychothérapie des victimes

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Les obstacles et les contre-indications
Les éventuelles participantes

Les atteintes consécutives aux agressions sexuelles sont graves et profondes, particulièrement lorsqu’il s’agit de viols répétés perpétrés par le père, ou un membre de la famille, pendant des années, à l’encontre d’un enfant.
Pour surmonter ces années d’épreuve, les personnes qui y sont confrontées ont dû développer des mécanismes complexes. Ces processus peuvent devenir des handicaps pour une démarche collective où s’impose la nécessité de prendre l’autre en considération et de s’intéresser à sa démarche.


Des avancées récentes

L’existence et le développement de services médicojudiciaires habilités à recevoir les victimes d’agressions et de viols sont à l’origine des progrès qui se font jour actuellement.
L’intérêt majeur d’une prise en charge immédiate après l’agression a de plus été confirmé et largement médiatisée à partir des soins dispensés aux victimes d’attentats terroristes.
Alors que les psychiatres militaires ont été longtemps les seuls à développer des compétences adaptées à la prise en charge des effets des traumatismes, leurs savoirs sont désormais partagés par des praticiens engagés dans l’accueil des victimes de catastrophes, d’attentats étaient victimes de viols et autres agressions sexuelles.

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Autres billets sur Phychothérapie des victimes
1/ Psychothérapie des victimes : Traitements, évaluations, accompagnement. Gérard Lopez, Aurore Sabouraud-Séguin, Louis Jehel
2/ Le concept de résilience peut être confondu avec la « résistance » par Gérard Lopez & Arianne Casanova

Ecstasy Shows Promise in Relieving PTSD by John Cloud

By John Cloud Tuesday, Jul. 20, 2010

On July 19, the Journal of Psychopharmacology reported the results of the first randomized, controlled trial of ecstasy, which is known to chemists as 3,4-methylene dioxyme thamphetamine, or MDMA. The study’s authors — led by Dr. Michael Mithoefer, a South Carolina psychiatrist — gave MDMA or a placebo to patients with posttraumatic stress disorder (PTSD) whose condition had not been alleviated by any standard combination of psychotherapy and antidepressants. The new paper showed that ecstasy is not only safe when administered in controlled settings but also remarkably effective in treating PTSD in conjunction with psychotherapy.

Given the controversial nature of their study, the authors write in an all-business tone — the word ecstasy does not appear anywhere in the article. They begin by noting that PTSD is a serious mental-health problem — it is diagnosed in roughly 8% of Americans and as many as 1 in 5 U.S. servicemen and women returning from Afghanistan and Iraq — and that we have little clue about how to treat it.

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