publié par lorelei avalon
17/07/2011
Les Femmes UDC se battent contre la levée de l’interdiction de l’inceste
Le Conseil entend supprimer l’interdiction de l’inceste dans l’art. 213 CPS.
Il l’annonce dans sa procédure de consultation sur l’harmonisation des peines. Les rapports sexuels pratiqués d’un commun accord frères et sœurs ainsi qu’entre un parent et son enfant ne seraient ainsi plus punissables. Le Conseil fédéral motive cette proposition par le faible nombre de cas dénoncés ainsi que par le fait que des personnes consanguines, qui appartiennent génétiquement à des groupes à risques en termes de maladies héréditaires, ont également le droit de procréer.
Pour les femmes UDC, le raisonnement du Conseil fédéral est inacceptable et traduit une attitude inhumaine. L’inceste n’est accepté chez nous ni socialement, ni culturellement. Bien au contraire, cet acte est banni de notre société. Les couches de la société, qui l’ont pratiqué activement, se sont elles-mêmes éliminées à court ou à moyen terme.
L’interdiction de l’inceste dans le Code pénal a un effet préventif. La lever, c’est donner un faux signal. Les enfants sont toujours dans une situation de dépendance par rapport à leurs parents. Entre frères et sœurs, le besoin d’exercer son pouvoir peut s’ajouter à la dépendance. On ne saurait donc dans ces conditions parler d’actes sexuels pratiqués d’un commun accord entre adultes consanguins.
Voilà des raisons suffisantes, aux yeux des Femmes UDC, pour maintenir l’interdiction de l’inceste dans le Code pénal.
Pour lire la suite du billet, cliquez sur le logo du Post
17/07/2011
Les Femmes UDC se battent contre la levée de l’interdiction de l’inceste
Le Conseil entend supprimer l’interdiction de l’inceste dans l’art. 213 CPS.
Il l’annonce dans sa procédure de consultation sur l’harmonisation des peines. Les rapports sexuels pratiqués d’un commun accord frères et sœurs ainsi qu’entre un parent et son enfant ne seraient ainsi plus punissables. Le Conseil fédéral motive cette proposition par le faible nombre de cas dénoncés ainsi que par le fait que des personnes consanguines, qui appartiennent génétiquement à des groupes à risques en termes de maladies héréditaires, ont également le droit de procréer.
Pour les femmes UDC, le raisonnement du Conseil fédéral est inacceptable et traduit une attitude inhumaine. L’inceste n’est accepté chez nous ni socialement, ni culturellement. Bien au contraire, cet acte est banni de notre société. Les couches de la société, qui l’ont pratiqué activement, se sont elles-mêmes éliminées à court ou à moyen terme.
L’interdiction de l’inceste dans le Code pénal a un effet préventif. La lever, c’est donner un faux signal. Les enfants sont toujours dans une situation de dépendance par rapport à leurs parents. Entre frères et sœurs, le besoin d’exercer son pouvoir peut s’ajouter à la dépendance. On ne saurait donc dans ces conditions parler d’actes sexuels pratiqués d’un commun accord entre adultes consanguins.
Voilà des raisons suffisantes, aux yeux des Femmes UDC, pour maintenir l’interdiction de l’inceste dans le Code pénal.
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