Série – La Fureur dans le sang – saison 5 épisode 4 – Episode 4 – Les péchés des mères (Anything You Can Do)

Série arrêtée en 2008
– 6 saisons, 31 épisodes
Première diffusion en France le 16 août 2003
Première diffusion aux Grande-Bretagne le 01 novembre 2002
Série déjà disponible en DVD depuis le 31 octobre 2006
Créée en 2002
Avec : Robson Green, Simone Lahbib, Mark Letheren  plus…
Titre original : Wire in the Blood
Série britannique.
Genre : Drame, Action.
Format : 42mn

Synopsis : Psychologue clinicien recruté par la police pour ses talents de profiler et aidé de l’inspectrice Carol Jordan, le Dr. Tony Hill doit élucider des enquêtes insolubles en pénétrant l’esprit des serial killers.
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Cliquez sur l’image pour aller sur le site de la critique La fureur dans le sang (Wire in the Blood) est une série anglaise en 6 saisons diffusée de 2002 à 2008 par le réseau britannique ITV. Elle a également été programmée en France par Canal +, et est rediffusée par NT1. Très noirs, ces films ne sont pas à mettre entre toutes les mains, mais la violence n’y est jamais gratuite. Les premiers épisodes étaient directement inspirés de romans et de personnages créés par l’auteur de polar écossaise Val McDermid, qui s’y est beaucoup impliquée.Voici un extrait d’une interview qu’elle a donnée après avoir appris l’arrêt de la série : « Année après année, Coastal (la société de production basée à Newcastle) a produit des films d’une qualité fantastique avec un budget de bouts de ficelle.
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" Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps et après cela ne peuvent rien faire de plus" – Luc 12,4

Dimanche 15 août 2010

Il m’est d’ailleurs venu une phrase de l’évangile de Luc :  » Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps et après cela ne peuvent rien faire de plus » Luc 12,4 et je pensais à ces personnes que je connais dont le corps a été mis à mal, qui auraient voulu mourir, qui disent que d’une certaine manière elles sont mortes le jour où elles ont été violées, mais qui pourtant ont en elles une partie vivante, une partie que le violeur n’a pu tuer.
Et je me disais que peut être le travail d’accompagnement est de permettre à cette partie là de reprendre sa place, de ne pas se laisser détruire.
Je pense que les tentatives de suicide, les mutilations, les troubles alimentaires sont comme des atteintes de l’âme, mais l’âme est là, elle est vivante même si les blessures sont là, même si l’agresseur reste présent dans la mémoire. Si ténu soit le feu de la vie il est là.
Et je crois profondément que la dissociation que vivent au quotidien ces personnes est la preuve que non ,l’âme n’a pas été mise à mal. Mais je crois que seule la présence de l’Esprit Saint peut remplir ce corps troué et que le rôle de l’accompagnant est de permettre que le souffle de Vie soit simplement un jour demandé.

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Je pense avoir simplifié un peu trop, j’espère au fond de moi que de la vie demeure, mais je pense que parfois c’est tellement ténu qu’elle semble inexistante et qu’habiter son corps est imposisble ou impensable.
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