Aux États-Unis, dans sa loi sur l’assurance-maladie, Obama, alors qu’on ne le lui demandait pas vraiment, avait décidé que les IVG ne seraient pas pris en charge par les contrats d’assurance maladie subventionnés par l’État, sauf en cas de viol ou d’inceste, ou si la vie de la mère était en danger.
C’était déjà attaque suffisante contre les femmes et le droit à l’avortement.
On aurait même pu se dire qu’on ne pouvait pas trouver plus restrictif.
C’était compter sans l’imagination des néocons USaméricains.
C’était déjà attaque suffisante contre les femmes et le droit à l’avortement.
On aurait même pu se dire qu’on ne pouvait pas trouver plus restrictif.
C’était compter sans l’imagination des néocons USaméricains.
Fraîchement élus à la Chambre des Représentants, ils se sont empressés de déposer un projet de loi pour redéfinir la notion de « viol ». Si, si! Ben, oui, des fois que c’en serait pas vraiment un et qu’on paierait une IVG à des simulatrices qui escroqueraient l’Etat pour un petit confort personnel, voire un assassinat.
Vous voulez que je vous dise? Je suis écœurée de voir le monde comme il tourne.
Vous voulez que je vous dise? Je suis écœurée de voir le monde comme il tourne.
Voici un billet de Christopher Brauchli: « How Republicans Are Working to Save the Republic/ Redefining Rape, and Other Pressing Matters », publié le 4/6 février 2011 dans CounterPunch
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