Ainsi, et pour prendre quelques exemples, Le Canard Enchaîné du 23 juillet 1997 avait dénoncé : « Lors de l’opération lancée par la gendarmerie contre les acheteurs de cassettes pédophiles, on avait aussi remarqué l’absence de certaines catégories professionnelles, dont celle des magistrats. Soixante et onze d’entre eux figurent pourtant sur la liste de ces clients ! » Il a donc suffit d’une seule opération de gendarmerie dans les milieux pédophiles pour y trouver impliqués pas moins de 71 magistrats français (soit 1 % de notre magistrature) ! Dans ces conditions, comment s’étonner que tant d’affaires de pédophilies soient étouffées…
On se rappelle tous de « la petite » affaire Dutroux, pédophile notoire et criminel. Mais où est passé « la grande » affaire Dutroux ? Cette intrigue apportait les preuves que Dutroux était membre d’un important réseau impliquant de nombreux notables belges jusqu’aux plus hautes sphères de l’État. Les témoignages de Mademoiselle Régina Louf sont, sur ce sujet, plus qu’accablants !
Monsieur Stan Maillaud, après avoir diffusé le témoignage d’un enfant victime (voir sur internet « l’affaire Vincent ») se voit menacé de mort et obligé de fuir les instances politico-judiciaires de notre pays. Son site internet lepeededamocles.info et les informations qu’il contenait ont été purement et simplement supprimés.
Monsieur Marcel Vervloesem a frôlé plusieurs fois la mort en prison et a été détenu dans des conditions abjectes. Son crime ? Avoir donné à la justice un CD Rom regroupant 8500 documents de 472 enfants violés. Les autorités belges pourraient ainsi détruire les pièces à conviction concernant les auteurs de crimes sur 90.081 enfants victimes (en vertu de la loi limitant la conservation des données à caractères personnels à la durée d’une enquête).
Il est évident, au vu des nombreux témoignages, que ces groupes rassemblent ce que le domaine psychiatrique nomme des pervers narcissiques. À savoir : « Des individus présentant une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale. Ils ont un total mépris pour toutes lois ou contraintes. Leur éthique est, le plus souvent, celle de la loi du plus fort et/ou du plus rusé. Il y a, dans leur comportement, la banalisation du mal et une « relativisation » de la morale, dans le cadre d’un nihilisme opérationnel, qui peut même être militant. »
Merci de faire preuve d’un civisme actif en diffusant cet appel.
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