Les Occidentaux ont tendance à imaginer que les principes de la victimologie sont universels, comme ils le démontrent par les nombreux instruments internationaux qu’ils ont promus, la résolution 40/34 du 11 décembre 1985 portant « Déclaration des principes fondamentaux de justice relatifs aux victimes de la criminalité et aux victimes d’abus de pouvoir» notamment.
Rien d’étonnant dans la mesure où le concept de victime nous paraît être la valeur fondatrice de la civilisation occidentale qui privilégie l’individu au détriment du groupe. D’autre part, l’ordre imposé est le mythe fondateur de notre droit positif au détriment d’autres méthodes de gestion des conflits.
Rien d’étonnant dans la mesure où le concept de victime nous paraît être la valeur fondatrice de la civilisation occidentale qui privilégie l’individu au détriment du groupe. D’autre part, l’ordre imposé est le mythe fondateur de notre droit positif au détriment d’autres méthodes de gestion des conflits.
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