Pendant l’agression sexuelle, la victime peut éprou
ver des réactions mécaniques dans la zone génitale.
Ces réflexes ne témoignent pas d’un plaisir sexuel en ce sens qu’ils sont des réactions physiologiques réflexes. Pour celles des victimes qui les ont éprouvés ils aggravent souvent son sentiment de culpabilité.
Ces réactions provoquent fréquemment des conséquences difficiles dans son rapport à son propre sexe et dans ses relations sexuelles avec l’autre.
Ayant été trahie par les réactions les plus intimes de son corps, il lui devient parfois difficile, dans un rapport sexuel désiré, de laisser venir la sensation de l’orgasme.
De plus, quand l’agresseur cherche à obtenir cette réaction mécanique que la femme violée ressent à son corps défendant, cela s’inscrit dans une stratégie pour leurrer la victime, comme l’auteur, sur la réalité de l’agression en faisant accroire que réaction sexuelle de plaisir signifie consentement. L’agresseur exploitera cette réaction pour s’innocenter.
Ces réflexes ne témoignent pas d’un plaisir sexuel en ce sens qu’ils sont des réactions physiologiques réflexes. Pour celles des victimes qui les ont éprouvés ils aggravent souvent son sentiment de culpabilité.
Ces réactions provoquent fréquemment des conséquences difficiles dans son rapport à son propre sexe et dans ses relations sexuelles avec l’autre.
Ayant été trahie par les réactions les plus intimes de son corps, il lui devient parfois difficile, dans un rapport sexuel désiré, de laisser venir la sensation de l’orgasme.
De plus, quand l’agresseur cherche à obtenir cette réaction mécanique que la femme violée ressent à son corps défendant, cela s’inscrit dans une stratégie pour leurrer la victime, comme l’auteur, sur la réalité de l’agression en faisant accroire que réaction sexuelle de plaisir signifie consentement. L’agresseur exploitera cette réaction pour s’innocenter.
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