Khokha, la seule des cinq qui avait refusé la mort, elle, comme Douja, brillait de joie folle, n’aimant pas la mort. Elle avait beaucoup changé. Elle était devenue grande et belle, une vraie perle. En elle, il ne restait rien de cette Khokha que j’avais laissée dans les bras de mon père, le jour de la mort de mes deux sœurs.
Khokha avait quitté Khokha.
Khokha avait quitté Khokha.
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